En entreprise, les membres d’une même équipe doivent non seulement faire confiance à leur manager mais aussi pouvoir compter les uns sur les autres. La recherche commence à s’intéresser à cet enjeu.
La féminisation des comités exécutifs et de directions conduit à une plus grande représentation de membres sensibles aux enjeux climatiques et sociaux dans la gouvernance des entreprises françaises.
Les personnes atteintes de dyslexie ou encore d’autisme, malgré leurs compétences reconnues, restent victimes de discriminations sur le marché du travail.
Contrairement aux idées reçues, les salariés parlent volontiers de leur rémunération, soit que l’entreprise ou la loi les y poussent, soit tout simplement… pour mieux les comprendre.
Nous vivons à une époque où la différence est de plus en plus perçue comme une force plutôt qu’une faiblesse. Cependant, certains types de diversité restent largement méconnus et sous-valorisés.
Formation, incitations financières, discussions… Une étude montre que l’efficacité des pratiques de ressources humaines visant à stimuler l’innovation varie fortement selon les régions du monde.
Le roi des gaffes, dont les nouvelles planches rencontrent un véritable succès, est-il vraiment nuisible au travail ? Les entreprises n’auraient-elles pas plutôt besoin de ce profil farfelu ?
Les difficultés à atteindre les objectifs d’égalité hommes-femmes dans certaines entreprises s’expliquent par des choix d’orientation et des préférences professionnelles qui restent fortement genrés.
Les comportements professionnels ne sont pas des indicateurs fiables de la véritable nature d’une personne, car ils peuvent également résulter de compétences acquises progressivement.
Une étude montre que les organisations les plus performantes financièrement sont à la fois celles qui s’impliquent le plus et le moins en termes de responsabilité sociétale des entreprises.
Paternité, congé menstruel, semaine de quatre jours… De nombreuses entreprises lancent des initiatives qui peuvent inspirer de futures évolutions réglementaires.
Utiliser des applications pour agir sur la QVCT peut conduire les individus à culpabiliser plus que de raison, ou bien les dirigeants à les instrumentaliser à des fins personnelles.
Au-delà des intérêts économiques, la possibilité de concilier études et vie professionnelle est désormais perçue comme le moyen le plus adapté pour s’insérer dans le monde de travail.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)