Près de deux mois après le début de l’invasion russe, les dirigeants affichent des capacités de résilience nourries par un réseau de solidarité qui dépasse les frontières du pays.
Depuis le « printemps arabe » de 2011, la multiplication des attaques diminue l’attractivité des pays de la région quelles que soient les cibles, institutions ou entreprises.
Selon un travail de recherche, les entreprises qui se livreraient à trop d’explications quant à leurs pratiques en ligne risquent de développer de la suspicion chez leurs clients.
Pour lutter contre l’abstention, il convient sans doute de redynamiser les collectifs de travail, d’encourager l’action collective en entreprise et de limiter la précarité de l’emploi.
L’expérience de l’Allemagne après 2015 montre que de nombreux décideurs voient dans les migrants une « armée de réserve industrielle » qui permet de compresser les salaires.
Des outils comme la communication ou la formation devraient limiter les craintes et concrétiser le potentiel des nouvelles technologies en termes de bénéfices attendus.
En renversant la perspective sur les organisations qui cherchent à autonomiser les équipes se dessine les contours de principes clés dans une adoption réussie de ce modèle.
Pour améliorer la gestion, les propriétaires d’investissement à l’étranger ont tendance à recourir à l’audit, ce qui façonne la gouvernance des entreprises dans lesquelles ils investissent.
Leurs retombées sur l’économie sont indéniables. Reste qu’à prioriser la croissance sur la rentabilité, le modèle semble assez nocif pour une grande majorité d’entrepreneurs.
Trop peu de femmes atteignent les plus hauts échelons des organisations. Des politiques proactives des gouvernements et des autorités réglementaires sont nécessaires si l’on veut une équité.
Et si la « corporate mindfulness » n’était qu’un outil au service de la performance économique ? Cette question fait écho aux premiers débats autour de la responsabilité sociale des entreprises.
Si le CDI reste un sésame social, la nouvelle génération est plutôt encline à mixer les expériences professionnelles au fil d’une carrière et de nouveaux formats d’emploi se développent.
L’annulation de la sanction européenne visant le fabricant américain de semi-conducteurs européen pour abus de position dominante traduit-elle une nouvelle évolution de la doctrine juridique ?
Même après son départ, le fondateur fait toujours sentir sa présence. Mais celle-ci doit-elle rester un spectre discret ou bien devenir un fantôme que l’on invoque ?
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)