Dans ces travaux, l’économiste britannique suggérait aux États d’encourager des « ruées vers l’or » afin de revitaliser l’activité, rejetant les conflits armés comme solution.
Une étude montre que les anomalies de températures ont des impacts macroéconomiques différenciés sur les pays de la zone euro. Pourront-ils alors rester régulés par une politique monétaire unique ?
En cas de crise ou face à une situation exceptionnelle, la Fed américaine ou la BCE peuvent s’écarter des règles pour ajuster leurs politiques monétaires – ce qui n’est pas sans risque.
La baisse observée de la productivité du travail s’explique par d’autres facteurs qu’une efficacité moindre des salariés. Ces causes s’estompant, des destructions d’emplois sont à anticiper.
Besoin en investissement, en travailleurs, conséquences sur la croissance et l’inflation : une équipe pluridisciplinaire a modélisé les conséquences sur l’économie réelle de la transition énergétique.
L’Argentine a affiché en 2022 une inflation de près de 100 %. Des mesures prises en concertation avec le FMI visent à la ramener à un niveau plus acceptable, mais la situation reste très fragile.
Selon les estimations du Cepremap, la probabilité que la hausse des prix s’accélère en 2023 ne serait que de 10 %. La situation apparaît en revanche plus critique en Allemagne.
Monnaie « hélicoptère », annulation des dettes publiques… Pourquoi les approches monétaires hétérodoxes ne parviennent-elles pas à remplacer la doxa monétariste ?
Ben Bernanke, Douglas Diamond et Philip Dybvig ont été récompensés pour des travaux de 1983 sur la gestion des crises financières qui résonnent différemment dans le contexte actuel qu'à l'époque.
Les perspectives de croissance post-Covid ont notamment été balayées par la guerre en Ukraine et la forte poussée inflationniste, ce qui confronte les décideurs à des choix délicats.
En Europe, les taux directeurs vont être relevés pour la première fois depuis 10 ans. Trois mois plus tôt, la Réserve fédérale enclenchait le même mouvement. Pour quelles conséquences ?
Le relèvement d’un demi-point acté lors de la dernière réunion de la Réserve fédérale américaine intervient peut-être trop tard pour prévenir un ralentissement économique.
L’empire du Milieu pourrait dépasser les États-Unis en termes de PIB d’ici 3 ou 4 ans mais les détrône déjà dans l’innovation ou les matières premières hors énergie.
L’économie russe se caractérise par une forte dépendance vis-à-vis de l’extérieur et par une faible capacité à compenser ses pertes par d’autres activités.
Les placements dans les grands crus offrent actuellement des rendements intéressants, mais présentent un certain nombre de risques liés aux cycles macroéconomiques ou des incertitudes géopolitiques.
Les difficultés économiques de l’Italie sont-elles dues à l’insuffisante application des préconisations européennes ou, au contraire, à leur excessive mise en œuvre ?
Aux États-Unis, la double dégradation actuelle des déficits publics et de la balance courante pourrait mettre fin à une période historique de financement aisé auprès des investisseurs étrangers.
Economist & Academic Dean of the MSc Financial Markets & Investments. Co-author of the book "Managing Country Risk in an Age of Globalization", SKEMA Business School
Chargé de recherche, Fondation pour les Etudes et Recherches sur le Développement International (FERDI); Chercheur associé au CERDI (UMR UCA-CNRS-IRD), Université Clermont Auvergne (UCA)