Longtemps vu comme une problématique relevant des « externalités » négatives, le changement climatique interroge désormais la raison d’être de nos sociétés.
Des associations ou des marques prennent le contre-pied des enseignes qui proposent des promotions le 29 novembre pour dénoncer une « journée infernale de surconsommation ».
Les pouvoirs publics cherchent aujourd’hui à structurer le secteur des entreprises qui allient technologies et alimentaire pour rattraper les pays anglo-saxons ou encore l’Allemagne.
On parle souvent des bienfaits des fruits et légumes moches pour lutter contre le gaspillage alimentaire. Mais ils ouvrent aussi nos esprits à la différence…
Le scientifique suédois Magnus Soderlund a récemment questionné les freins symboliques, économiques et sanitaires qui entourent le cannibalisme : décryptage.
Le fleuron français des vins et spiritueux a annoncé qu’il allait supprimer 10 % de ses effectifs malgré de bons résultats financiers. L’occasion de décrypter un marché pas comme les autres.
Les Français sont aujourd’hui davantage prêts à la sobriété énergétique qu’à la réduction de leur consommation d’objets. Les auteurs du livre « Du gaspillage à la sobriété » expliquent pourquoi.
En octobre, un article scientifique concluant qu’il n’est pas nécessaire de limiter sa consommation de viandes rouges ou transformées a déclenché un tollé. Décryptage d’une polémique inutile.
Au-delà des mauvaises récoltes annoncées pour 2019, la filière est en proie à des problèmes structurels dont la résolution nécessite de rompre avec de vieilles habitudes.
Si les circuits courts sont vantés pour leurs vertus sociales et environnementales, il n’est en réalité pas garanti qu’ils soient plus efficaces que les circuits conventionnels.
Christophe Garonne, Kedge Business School and Félix Weygand, École de Journalisme et de Communication d'Aix-Marseille (EJCAM)
Sept ans après son entrée fracassante sur le marché B2C, l’opérateur opère un changement stratégique qui vise à conquérir 4 à 5 % de parts de marché chez les professionnels d’ici 2024.
La réduction des activités nécessaire pour faire face de façon équitable aux grands défis sociaux et environnementaux devrait entraîner une réorganisation profonde de la société et de l’économie.
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)