La solitude est un fléau et créer des liens sociaux est essentiel pour notre bien-être. Les recommandations de santé publique à cet égard peuvent nous aider à vivre plus heureux et en meilleure santé.
L’empathie nous aide à comprendre ce que les autres pensent et ressentent, à établir des relations sociales, et à nous intéresser à ce que nous apprenons. Comment la favoriser à l'école ?
Timothée Chabot, Institut National d'Études Démographiques (INED)
Les politiques de mixité sociale amènent-elles vraiment les élèves à diversifier leurs fréquentations et à nouer des amitiés hors de leur milieu d’origine ? Retour sur une enquête au collège.
L’expérience du sans-abrisme et de l’extrême pauvreté n’est pas qu’ individuelle. Elle se structure au contraire via un réseau d’interconnaissance, de normes et de valeurs.
Comment aider les enfants à accepter la différence ? Quelques repères alors que le ministère de l'éducation veut généraliser les cours d'empathie pour lutter contre le harcèlement scolaire.
En ces temps de crise sanitaire où notre rapport aux objets est questionné, ces cartes stars des cours de récréation nous rappellent combien la consommation est une activité complexe.
On y retrouve des colonies de vacances, les maisons des jeunes et de la culture ou encore les universités populaires. Mais que vise vraiment l’éducation populaire ? Son projet résonne-t-il encore ?
Si on associe souvent les bonbons à l’enfance, ils s’invitent aussi au collège. Là, ils peuvent jouer un rôle d’intégration ou refléter des rapports de force. Retour sur une enquête.
Intuitivement, on peut penser que les introvertis s’en sortent mieux que les extravertis pendant les périodes d’isolement. Or cette affirmation n’est pas soutenue par des preuves scientifiques.
Différentes recherches en sciences du langage ou en sociologie, soulignent les limites de la logique « formation en langue = intégration ». Retour sur une thèse qui en explore les effets.
Les sports organisés favorisent les liens sociaux, qui manquent cruellement aux jeunes et expliquent leur détresse croissante depuis le début de la pandémie.
Enfermé dans une petite case sur un écran, le télétravailleur est privé de l’aspect informel des échanges. Un bouleversement qui demande une adaptation du management.
Avec la pandémie, la confiance dans les routines qui régissent les rencontres publiques et dans les compétences d’autrui à réagir de manière rationnelle et prévisible se trouvent bouleversées.
Coordinateur de l'Observatoire pour l'Afrique centrale et australe de l'Institut Français des Relations Internationales, membre du Groupe de Recherche sur l'Eugénisme et le Racisme, Université Paris Cité