Menu Close

Articles on loi Pacte

Displaying 1 - 20 of 54 articles

Les investisseurs sont aujourd'hui incités à avoir d'autres considérations que financières. Shutterstock

Des investisseurs à mission pour les sociétés à mission ?

Exigeants envers eux-mêmes comme envers les entreprises qu’ils accompagnent, les investisseurs à mission restent peu nombreux mais entraînent de plus en plus d’acteurs de la finance dans leur sillage.
Pour Milton Friedman (à gauche) la responsabilité sociale des entreprises est « d’accroître leurs profits ». Pour Edward Freeman, le capitalisme est contraint de prendre en compte toutes « les parties prenantes ». Montage Wikimedia commons / University of Virginia

Deux conceptions de l’entreprise « responsable » : Friedman contre Freeman

Les manières dont l’entreprise doit contribuer au bien public opposent deux courants de pensée. Cependant, la mise en œuvre de leurs principes peut aboutir à des résultats très proches.
Pierre Sudreau, homme politique, chargé par le président Valéry Giscard d’Estaing d’établir un dossier sur la réforme de l’entreprise, lors d’une conférence de presse à Paris, le 13 février 1975. AFP

Associer les salariés à la gouvernance d’entreprise, une invention française (et pas allemande)

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le général de Gaulle développait l’idée d’une meilleure association du capital et du travail dans le but d’éviter une fracture de la société.
Facebook s’est récemment doté d’une « cour suprême » composée de personnalités politiques ou du monde des ONG pour contrôler les politiques internes de l’entreprise. Shutterstock

La représentation de l’intérêt général en entreprise, un modèle qui reste à trouver

Les formes de gouvernance qui affichent des missions au-delà de l’objectif de maximisation du profit ou celles qui instaurent une « cour suprême » manquent encore de maturité.
Les limites du dispositif introduit par la loi Pacte ont de quoi faire hésiter les dirigeants des entreprises quant à l’adoption du nouveau statut.

La société à mission, une influence encore modeste

Des blocages relatifs aux investissements et aux évolutions organisationnelles nécessaires, mais aussi au comportement du consommateur, freinent l’adoption du label prévu par la loi Pacte.
Vendre des yaourts, des assurances ou du papier toilette reste intrinsèquement utile, avec ou sans « raison d’être ».

Débat : L’entreprise à mission détourne l’entreprise de sa mission

Le statut apparu avec la loi Pacte donnerait aux entreprises un rôle politique qu’elles ne devraient pas avoir, leur vocation sociale étant avant tout de réaliser des profits… et de payer des impôts !
En 2020, Danone devient la première société cotée à adopter le statut d’entreprise « à mission ». Denis Charlet / AFP

Danone, ou l’ultime paradoxe de la société « à mission »

Ce statut devait permettre au géant alimentaire de mieux se protéger d’une éventuelle OPA. Une stratégie qui semble s’être retournée contre Emmanuel Faber, récemment évincé de la présidence.
Le PDG de Danone, Emmanuel Faber, a été évincé de la direction générale du groupe le lundi 1er mars. Patrick Kovarik / AFP

Danone, une illustration des fragilités du statut d’entreprise à mission

L’éviction du PDG du groupe français sous la pression de fonds activistes révèle la nécessité de mieux protéger les entreprises qui s’engagent à viser des objectifs autres que financiers.
Afin d’aller plus loin dans l’affirmation de ses engagements en termes de RSE, la MAIF a acquis le statut de société à mission. Vincent NGuyen / MAIF

Pourquoi les entreprises déjà engagées dans la RSE deviennent-elles aussi des « sociétés à mission » ?

Adopter le statut prévu dans la loi Pacte de 2019 renforce la performance globale des organisations affichant depuis longtemps leurs engagements sociaux et environnementaux. Trois cas l’illustrent.
L’entreprise a pour ambition de devenir à terme une « B. Corp » à 100 %, une certification traduisant sa volonté de créer de la valeur en la partageant notamment avec les salariés. Ricochet64 / Shutterstock

Danone : le statut d’entreprise responsable ne signifie pas s’affranchir de l’exigence des actionnaires

Le groupe agroalimentaire, dont une partie des activités est certifiée « B Corp », a annoncé vouloir supprimer jusqu’à 2 000 emplois dans le monde pour améliorer sa rentabilité.
Les entreprises qui laissent les employés prendre les décisions à la place des dirigeants prouvent que l’on peut allier plus de liberté et plus de performance. Pickpic

Dans l’entreprise libérée, la raison d’être bouscule la dictature du profit

Une série d’entretiens montre que les dirigeants qui autonomisent leurs équipes sont davantage enclins à placer la mission de l’organisation au cœur de leurs décisions.
La paix économique est « une orientation pour laquelle une entreprise (…) créent de la richesse au profit du bien commun et de l’épanouissement de l’ensemble des parties prenantes dans le cadre plus vaste de leur responsabilité sociale et humaine » selon Dominique Steiler. ImageFlow / Shutterstock

Les compétences collaboratives au service de la paix économique

Contrairement aux compétences individuelles, les compétences collectives se développent peu dans les organisations. Ces dernières sont pourtant clés pour pacifier les relations entre organisations.
Avec la loi Pacte, publiée le 23 mars 2019, l’entreprise doit définir son rôle au-delà de la sphère économique. Shutterstock

La « raison d’être » de l’entreprise rebat les cartes du jeu concurrentiel

La raison d’être invite au rassemblement et à la cohésion collective pour relever les défis du monde contemporain. Ne pas en tenir compte, c’est passer à côté d’enjeux majeurs.
La loi Pacte aurait pu capitaliser sur le modèle de l’ESS défini dans la réglementation depuis 2014 pour créer plus de synergies. Viorel Sima/Shutterstock

Pourquoi fallait-il une loi Pacte, cinq ans après la loi ESS ?

Les promulgations successives de la loi sur l’Économie sociale et solidaire en 2014 puis de la loi Pacte en 2019 qui introduit le modèle d’entreprise à mission interrogent.
Quelque 181 PDG des plus grandes entreprises américaines se sont engagés en faveur d'un « capitalisme des parties prenantes », le 19 août dernier. Rido / Shutterstock

Déclaration du « Business Roundtable » sur le rôle de l’entreprise dans la société : quoi de neuf exactement ?

L’engagement des grandes entreprises américaines de réorienter leur activité en faveur de l’ensemble de leurs parties prenantes reprend des préconisations formulées par la théorie dès les années 1970.

Top contributors

More