Menu Fermer

Articles sur Calais

Affichage de 1 à 20 de 25 articles

Veste d'un réfugié retrouvée sur les dunes de Wimereux au nord de la France, après une tentative de passage en Angleterre, le 16 octobre 2021. Marc Sanye/AFP

Ce que des réfugiés du nord de la France m’ont appris sur la traversée de la Manche : récit en trois épisodes

La chercheuse Sophie Watt a travaillé dans des camps de réfugiés au nord de la France où elle a rencontré bénévoles et exilés afin de mieux comprendre ces zones frontalières très controversées.
Un groupe de 80 exilés essaient de traverser la Manche en direction du Royaume-Uni, en partant des côtes françaises près de Wimereux. Marc Sanye/AFP

Ce que des réfugiés du nord de la France m’ont appris sur la traversée de la Manche : les bateaux (3/3)

Au fil des ans et du nombre de candidats à la migration tentant de traverser la Manche, les passeurs modifient leurs techniques pour s’adapter à l’intensification des contrôles policiers.
Grande-Synthe : ce camp du nord de la France a vu défiler de nombreuses familles d'exilés cherchant à traverser la Manche. Certains sont devenus des passeurs contribuant aussi au trafic d'être humains. Photo prise le 25 mai 2022. Bernard Baron/AFP

Ce que des réfugiés du nord de la France m’ont appris sur la traversée de la Manche : les passeurs (2/3)

Les candidats à l’exil espérant traverser la Manche sont aux mains des passeurs qui tiennent les camps et les voyageurs, dans un climat de peur et de violence.
Durant l'été 2023, le nombre de personnes sur le camp de Loon Plage fluctue entre 300 et 2000 selon les conditions météo et les départs, et entre 1000 et 1500 sur les différents camps de Calais. Ici des personnes font la queue auprès d'un camion associatif distribuant de la nourriture. Frédérique de Bels

Ce que des réfugiés du nord de la France m’ont appris sur la traversée de la Manche : les camps (1/3)

Malgré les violences et les dangers qui les attendent jusqu’aux conditions déplorables dans les « camps » de réfugiés du nord de la France, les migrants veulent aller au bout de leur exil.
Une association d'aide aux migrants rassemble des citoyens assistant à une veillée en hommage aux 303 personnes mortes en tentant de franchir la Manche, Place Richelieu à Calais, le 25 novembre. Fraçois Lo Presti / AFP

Débat : Peut-on en finir avec la « crise » des migrants dans les médias ?

À l’instar de nombreux collègues, je suis régulièrement invité par les médias comme « spécialiste des migrations ». Nous disons tous la même chose mais rien ne change. Pourquoi ?
Des exilés secourus par des bénévoles de la Société nationale de sauvetage en mer (SNSM). Bernard Barron/AFP

Le sauvetage en mer au défi de la sécurisation des frontières : le cas de la Manche

La sécurisation du Calaisis aurait conduit à l’essor des traversées de personnes migrantes en Manche. Dans un contexte de fermeture des frontières, les actions de sauvetage pourront-elles perdurer ?
Une clinique mobile de Médecins sans frontières à la porte de la Chapelle, à Paris, le 11 janvier 2017. Armelle Loiseau/MSF

Santé des migrants : les préjugés ont la vie dure

A l'occasion de la journée internationale des migrants, la question de leur santé mérite d'être examinée sur la base des données scientifiques. Tout comme le coût des soins.
Évacuation, porte de la Chapelle, à Paris, le 7 juillet 2017. Eric Feferberg / AFP

Réfugiés : à l’ouest, rien de nouveau ?

La politique européenne face aux demandeurs d’asile semble poursuivre le fil tracé précédemment : une approche nationale et sécuritaire plus qu’une manifestation de solidarité européenne.
Des migrants sur le départ, le 22 octobre, à la veille du démantèlement programmé du bidonville surnommé « la jungle ». François Lo Presti/AFP

Calais, vu des deux côtés de la Manche

Les autorités françaises ont décidé de démanteler le camp de fortune, surnommé « la jungle ». Une décision qui ne dissuadera en rien les migrants de revenir. D’autres solutions existent.
23 juin 2016, l'heure de trancher. Paul Faith/AFP

« Brexit », avantage France ?

Si elle est exploitée à bon escient, la sortie du Royaume-Uni de l’UE pourrait s’avérer intéressante pour les États membres, notamment pour la France, sur un plan politique et économique.
Le camp de cabanons chauffés ouvert par MSF, avec l’aide de la mairie de Grande-Synthe, le 8 mars dernier. Denis Charlet/AFP

Grande-Synthe, miroir des incohérences de l’État

Alors que l’État a ouvert un camp ultra-sécurisé, élus locaux et associations humanitaires proposent un modèle alternatif axé sur l’« autonomisation » des réfugiés.

Les contributeurs les plus fréquents

Plus