Plus que de refléter un affaiblissement durable de la croissance, cette situation historique pourrait traduire l’essor d’une société de consommation plus responsable. Explications.
Le fait de vouloir imiter les autres, théorisé par le philosophe René Girard, serait un moteur puissant de la consommation. Pour le pire… ou pour le meilleur.
Pour une montre, les réponses des sondés dans sept pays différents s’échelonnent entre 100 et 12 000 euros. Cette hétérogénéité incite les marques à penser en termes de portefeuille de marques.
On savait la consommation d’aliments ultra-transformés associée au surpoids et à l’obésité, à divers cancers, à la dépression… À cette triste liste s’ajoutent désormais les maladies cardiovasculaires.
La circularité, même parfaite, n’a alors que peu d’effets sur le long terme, et ne fait que retarder de quelques années les pressions sur les ressources.
Les millennials ont dopé la consommation de rosé : rien qu’aux États-Unis, 65 % entre eux se déclarent « buveurs de rosé ». Comment expliquer ce succès global ?
Moralscore.org, une start-up qui propose de banaliser l’éthique comme critère de choix interroge la place des industriels dans la transition alimentaire.
En inscrivant leur ambition à atteindre la neutralité carbone dans un cadre législatif, la France et le Royaume-Uni se distinguent dans la lutte contre le changement climatique.
Le neuromarketing prétend utiliser l’imagerie cérébrale pour décrypter et influencer les comportements de consommation. Mais en l’état actuel des connaissances, son utilité reste à prouver.
2019 marque le 60ᵉ anniversaire de la célèbre poupée. L’occasion de revenir sur le parcours de l’héroïne de l’aventure Mattel : Ruth Handler, un modèle exemplaire de leader visionnaire.
Un nombre croissant d’études pointe les effets néfastes de la consommation d’aliments ultratransformés sur la santé. Mais sauriez-vous les reconnaître dans les rayons des supermarchés ?
En marge des réponses technologiques et politiques, le changement des comportements est devenu un nouveau champ de solutions pour faire face aux dérèglements climatiques.
Hajer Kefi, PSB Paris School of Business et Daniel Maar, PSB Paris School of Business
Le changement du marché du luxe, porté par plusieurs tendances de fond comme l’importance croissante des « millennials », contraint les marques à revoir leurs pratiques.
Sacs à main, montres… De plus en plus de produits de luxe sont proposés à la location pour répondre à une nouvelle demande. Ce qui n’est pas sans conséquence pour les marques.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les visuels non symétriques des marques dites « excitantes » ont plus d’impact. Certains logos emblématiques mériteraient ainsi d’être redésignés.
Le contexte d’éclatement de l’offre encourage le consommateur à se tourner vers le piratage des contenus auxquels il n’a pas accès. Des solutions existent pour contenir le phénomène.
En ouvrant son premier magasin dans le centre de Paris, le géant suédois transforme son modèle d’affaire, ce qui peut être considéré comme une bonne nouvelle pour des centres-villes qui se meurent.
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)