Alors que l’Irak est en passe de réussir à se positionner comme un acteur régional important et indépendant, le pays doit toujours faire face à de nombreuses sources d’instabilité internes.
Les analyses s’intéressant à l’alliance AUKUS se sont concentrées sur l’Australie et les États-Unis, négligeant le Royaume-Uni, qui pourrait en fait en être le principal bénéficiaire.
Lukas Aubin, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières et Jean-Baptiste Guégan, Institut libre d'étude des relations internationales (ILERI)
Alors que les JO d'hiver de Pékin à venir suscitent de nombreuses critiques, retour sur les ambitions sportives historiques de la puissance chinoise.
Le conflit qui oppose l’Algérie au Maroc depuis des décennies risque aujourd’hui de dégénérer en véritable guerre. Pour en comprendre les causes, un retour historique s’impose.
Michel Bozdémir, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
Recep Tayyip Erdogan affiche de grandes ambitions pour la Turquie en Afrique. Celles-ci sont autant motivées par les opportunités économiques que par les implications symboliques de cette présence.
Une des manières d’aborder une exposition est de s’interroger sur les raisons et enjeux qui président à sa conception à ce moment-là, à cet endroit-là.
La rupture par l’Australie du contrat français au profit d’AUKUS témoigne du modèle d’exportation d’armes américain : à l’inverse de la France, les É.-U. ne sont pas dépendants de leurs ventes.
Plusieurs candidats déclarés à la présidentielle française souhaitent un rapprochement avec la Russie. Concrètement, quelles formes une telle politique prendrait-elle ?
Plus que pour des sous-marins nucléaires, l’Australie a fait le choix des États-Unis pour les garanties de sécurité qu’ils lui fournissent. La France et l’Europe vont devoir se repositionner.
Le Canada brille par son absence dans le nouveau pacte de sécurité signé par les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Australie sur la Chine. Est-il temps pour le Canada de s’inspirer de l’Australie ?
Le « coup dans le dos » que l’Australie a porté à la France est lié à un besoin pressant de contrer l’hostilité grandissante de la Chine en s’appuyant sur une alliance de longue date avec Washington.
Signé en 1959, le Traité sur l’Antarctique, qui réunit 54 États parties, vise à encadrer les activités humaines dans cette région fragile. La France accueille cette année la 43ᵉ Réunion consultative.