Les appels à l’exercice d’une « bonne parentalité » marquent un tournant de l’action publique et posent question dans la mesure où ils visent plus particulièrement les familles les plus modestes.
Le Covid, les attentats et les conflits armés impactent la santé mentale des jeunes déjà dégradée par des déterminants sociaux majeurs comme la pauvreté, le mal-logement ou le contexte familial.
Anne Solaz, Institut National d'Études Démographiques (INED) et Carole Bonnet, Institut National d'Études Démographiques (INED)
Le taux de pauvreté augmente chez les enfants lorsque leurs parents se séparent. Ce phénomène varie selon divers paramètres : mode de garde, âge des enfants, remise en couple, etc.
Respecter les règles tout en s’adaptant à un contexte hors normes, c’est le défi qui se pose aux parents divorcés en contexte de confinement. Quelques pistes pour faciliter le dialogue familial.
Une réflexion sur l’intérêt supérieur de l’enfant adaptée aux conditions de vie des enfants du XXIᵉ siècle est nécessaire pour remplacer les pratiques « classiques ».
Marta Spranzi, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay et Laurence Brunet, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Un couple avec leurs enfants biologiques, c’est généralement ainsi qu’est définie la famille dite naturelle. Quid des familles adoptives, recomposées, monoparentales ou homosexuelles ?
Au moment, où s’ouvrent les États généraux de la bioéthique, il est utile de réfléchir à l'utilisation des nouvelles techniques permettant de corriger des anomalies génétiques de l’embryon.
L’article propose des études scientifiques récentes qui répondent aux arguments en cours dans le débat public suscité par le vote de la PPL sur la résidence des enfants après séparation des parents.
Alors que le nombre de divorces s’accroît en Europe, quelques idées bien ancrées bloquent la réflexion en France à propos de la résidence des enfants après séparation de leurs parents.
Bruno Lechevin, Ademe (Agence de la transition écologique)
Un Français sur 5 a du mal à financer ses dépenses énergétiques. Jeunes, familles monoparentales et locataires sont les plus touchés. De nouvelles mesures sont prévues pour combattre cette précarité.
Juriste spécialisée en droit de la famille, chercheuse associée au centre de recherche Droit, sciences et techniques, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne