Si les gens qui détestent le sucre sont rares, nombreux sont ceux qui l’adorent au point d’en manger trop. Cet excès peut-il accroître le risque de cancer ? Voici ce qu’en savent les scientifiques.
Un travail de recherche confirme que l’ouverture internationale génère des effets positifs sur la santé des populations jusqu’à un certain degré à partir duquel la tendance s’inverse.
Réduire les pesticides et les gaz à effet de serre, développer l’offre bio et une alimentation saine, soutenir les revenus et carrières des agriculteurs et agricultrices, les défis sont nombreux.
Obésité ou hypertension sont des facteurs de risque en cas de Covid. Or on sait le rôle de l’alimentation dans leur développement. Bien se nourrir n’a pourtant pas été mis en avant lors de l’épidémie.
Dans les fruits comme les sucres transformés, on trouve du fructose qui peut être nocif pour la santé. Pourquoi, dès lors, encourager la consommation de fruits ? Décryptage d’un apparent paradoxe.
Que l’on souffre de maladies chroniques, que l’on reprenne le sport ou que l’on souhaite juste s’entretenir, adapter son activité physique est la clé pour en maximiser les effets santé.
Si les discriminations liées au poids sont dénoncées, les clichés sur l’obésité persistent, culpabilisant les personnes qui en souffrent et poussant au régime des jeunes qui n’en ont pas besoin.
Il y a des coupables biologiques à cette envie irrépressible de bonbons : deux hormones impliquées dans la régulation de nombreuses fonctions, dont notre appétit. Voilà comment agissent les fautives…
Très tôt, l’obésité a été identifiée comme facteur de risque face à la Covid. Restait à comprendre pourquoi… Plusieurs pistes ont été identifiées, et contribuent déjà au développement de traitements.
Alors que l'obésité progresse en France, une activité physique adaptée permet non seulement de mieux gérer son apport alimentaire et son poids. La qualité de vie s'en trouve également améliorée.
La récente conférence de presse du footballeur portugais, devenue virale sur les réseaux, est l’occasion de revenir sur des travaux envisageant des mesures de prévention face à cet enjeu sanitaire.
Que vivent les personnes très corpulentes dans une société comme la nôtre ? Que révèle le stigmate de gros ou de grosse des normes qui pèsent différemment sur les hommes et sur les femmes ?
Les préjugés à l'égard des personnes de forte taille ou obèses sont répandus en Australie, au Canada, en France, en Allemagne, au Royaume-Uni et aux États-Unis.
Ce qui peut ne paraître qu’un simple détail esthétique pour les adultes joue un rôle essentiel chez les plus jeunes dans la mémorisation et la reconnaissance d’une marque.
Dans cet épisode, nous vous racontons comment un mot, grossophobie, a réussi à faire sortir de l’ombre le sujet des discriminations à l’encontre des personnes en surpoids et obèses.
S’il convient de lutter contre la stigmatisation des personnes obèses, il ne faudrait pas pour autant nier les risques auxquels expose l’obésité. Comment réconcilier les deux approches ?
La petite enfance est une période critique, durant laquelle se construisent les bases des habitudes de toute une vie. Éduquer les enfants à bien dormir servira leur santé et leur bien-être futurs.
Au lendemain des fêtes et des confinements vient la tentation d’un régime amaigrissant. Or s’agissant de l’effet à long terme comme des bienfaits santé, on ne peut que vanter le régime méditerranéen.
Directrice de recherche honoraire. Coordinatrice du Réseau National Alimentation Cancer Recherche (réseau NACRe) de janvier 2000 à septembre 2020, Inrae