Laura Bullon-Cassis, Graduate Institute – Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID)
Depuis les grandes manifestations organisées à Madrid (COP25) et de Glasgow (COP26), les jeunes semblent de moins en moins audibles à l’occasion des grandes messes onusiennes sur le climat. Pourquoi ?
Le préjudice écologique subi par la nature a été reconnu la première fois en droit international par la Convention sur la diversité biologique adoptée en 1992.
L’électronique pèse lourd dans nos émissions de carbone et nos déchets. Quelles sont les voies pour diminuer l’impact de cette industrie cruciale pour la transition écologique ?
C'est un terme qui surgit régulièrement dans l'arène politique : celui d'écologie punitive ? Mais une telle notion existe-t-elle vraiment ? Et est-elle nécessairement à opposer à une écologie réaliste ?
Cette pelote, constituée des restes de proies non digérés par un cormoran, contient de précieuses données que les biologistes qui les ramassent utilisent pour suivre la biodiversité marine.
Un dilemme continue d’animer la recherche sur la biodiversité. Faut-il séparer les espaces agricoles et ceux de la biodiversité, ou combiner production agricole et conservation sur les mêmes terres ?
Poivre sauvage endémique de Madagascar, le voatsiperifery est une épice prisée des grandes tables. Mais son exploitation doit réussir à préserver son milieu et garantir aux producteurs une rémunération juste.
Après Plastic Bertrand, Plastic Bernard ? Les bernard-l’ermite élisent normalement domicile dans des coquilles vides, mais optent de plus en plus souvent pour des déchets plastiques.
Les sciences participatives invitent tout un chacun à apporter sa pierre à l'édifice de la recherche. Mais comment déterminer l'apport réel de cette pratique aux connaissances ?
En mettant l’accent notamment sur les écogestes, l’éducation au développement durable tend à se focaliser sur les responsabilités individuelles. L’écopédagogie propose de changer d’angle de réflexion.
La politisation de la sensibilité est une des contre-propositions les plus vieilles et intéressantes de l’écologie politique. Mais comment la mettre en pratique lors d’un meeting ?
Des chercheurs ont fait une observation fascinante : un ours polaire a employé une technique de chasse en plongée, encore jamais rapportée, pour capturer de grandes oies des neiges en mue.
Au sein d’un collectif agricole autogéré, on abat soi-même le cochon. Si cet événement témoigne d’une forte volonté politique, il visibilise aussi des clivages de genre. Récit.
David Porchon, AgroParisTech – Université Paris-Saclay
Les vicissitudes des Soulèvements de la Terre interrogent sur la violence des mouvements écologistes. Violence qui a une fonction clé : celle d'un grand spectacle qui entend imaginer un nouveau monde.