Présentation des conditions nécessaires à la réalisation des trois principaux scénarios envisageables : un succès russe, une victoire ukrainienne ou un enlisement durable.
Monika Siejka, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Dans les séries comme dans la vie, les femmes restent presque toujours à l’arrière, dans des fonctions liées au « care ». Et quand elles combattent, elles font figure d’exception.
Le chef d’état-major de l’armée russe sera désormais directement en charge de la guerre en Ukraine. Cette nomination aura des effets militaires mais, aussi, politiques.
Après une guerre civile d’une grande violence qui a duré deux ans, un accord a récemment été signé entre les acteurs du conflit éthiopien. La prudence demeure toutefois de mise…
La compagnie militaire privée Wagner est à la fois un outil du Kremlin, une entreprise privée et un groupe de mercenaires. Ce qui la rend difficile à appréhender.
Si les services russes ont promis à Vladimir Poutine que l’Ukraine s’effondrerait très rapidement, c’est moins par incompétence que par volonté de lui dire ce qu’il voulait entendre.
Elsa Marie, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
En août, un communiqué d’Amnesty International a été interprété comme la mise sur le même plan des militaires ukrainiens et des agresseurs russes. Décryptage.
Le changement climatique apparaît comme un facteur aggravant des conflits dans les zones les plus touchées. Une étude de l'université de Stanford confirme cette impression.
Le Kirghizstan et le Tadjikistan partagent 972 km de frontières, dont une partie reste non délimitée, ce qui cause des conflits récurrents, comme celui qui vient de provoquer une centaine de morts.
L’annexion de quatre régions ukrainiennes n’est pour la Russie qu’une victoire en trompe-l’œil. Le maximalisme de Vladimir Poutine aura un coût stratégique autrement plus élevé.
Jules Sergei Fediunin, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
Il existe en Russie un courant de droite nationaliste, très hétérogène, qui estime que le Kremlin se montre trop mou vis-à-vis de l’Ukraine et milite pour une « guerre totale ».
Les menaces proférées par Vladimir Poutine, ce 21 septembre, ne doivent pas être balayées d’un revers de la main. Aux yeux du Kremlin, l’emploi de l’arme nucléaire en premier n’est pas tabou.
Les médias du Kremlin ont été pris de court par la surprenante contre-offensive ukrainienne. Pendant ce temps, l’extrême droite russe se montre plus véhémente que jamais.
Les forces russes ont clairement battu en retraite en Ukraine, et il semble que Vladimir Poutine puisse perdre le contrôle de la guerre. Quelle est la prochaine étape ?
La double contre-offensive de l’Ukraine dans le sud et dans le nord-est du pays est pour l’instant un succès. Mais a-t-elle les moyens de remporter une victoire militaire décisive et incontestable ?
La junte au pouvoir au Mali, qui a déjà obtenu la fin de l’opération française Barkhane et s’est largement rapprochée de Moscou, s’en prend désormais à la Minusma, mission de l’ONU dans le pays.
Alessia était architecte et menait une vie paisible. La guerre a bouleversé son existence. Pour ne pas sombrer, elle s’est trouvé une mission : aider les réfugiés affluant dans sa ville, Dnipro.
Maitre de conférences en sciences de la communication, Chercheur au PREFICS (Plurilinguismes, Représentations, Expressions Francophones, Information, Communication, Sociolinguistique), Université Rennes 2
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School
Responsable du Département International Relations and Diplomacy, Schiller International University - Enseignante en relations internationales, Sciences Po