Les observatoires du bonheur se multiplient. Ce souci du bien‑être semble faire contrepoids à l’obsession pour la croissance. Avec le risque que les « experts du bonheur » imposent leurs lois ?
Citant explicitement l’accord de Paris sur le climat, le traité de libre-échange UE−Japon fait la part belle au développement durable. Il pourrait changer radicalement le commerce international.
Quels pourraient être les outils pour orienter les comportements dans le sens du bien commun sans recourir à la violence ? Au rang des outils possibles, faut-il compter les nudges ?
Richesse(s), bonheur : quels indicateurs pour inventer demain ? Une première piste avec les indicateurs de bien-être soutenable territorialisés, qui mettent en lumière les facteurs du bien-être dans le travail.
Donald Trump a décidé de jouer la carte d’un protectionnisme agressif, au risque de déclencher une violente guerre économique. Des solutions alternatives sont pourtant possibles.
La nette accélération de la croissance au sein de la zone euro apporte déjà des bénéfices en termes de réduction du chômage. Pour attendue qu’elle puisse être, elle n’en demeure pas moins dangereuse.
Une source de difficulté ignorée dans les entreprises vient des relations inter-entreprises empreintes de rivalité. Souvent, davantage de bienveillance permettrait un fonctionnement plus optimal.
En complément aux analyses déjà réalisées, qu’en est-il du rôle des pratiques managériales dans la diffusion et la persistance du niveau élevé de pessimisme au sein de nos entreprises.
Faisant suite à un premier article, nous montrons ici, exemple à l’appui, qu’en dépit de son fort ancrage culturel, le pessimisme qui prévaut dans les entreprises françaises n’est pas inéluctable.
Le pessimisme demeure trop souvent associé au travail en France. Avant d’affiner l’analyse dans trois futures chroniques, nous proposons ici un retour sur les fondements culturels de ce pessimisme.
Les effets délétères du court-termisme sur l’économie sont connus. La responsabilité des entreprises et des pouvoirs publics est partagée pour corriger la prégnance du « capitalisme trimestriel ».
Plaidoyer pour une éthique de la compréhension qui cesse de réduire les modalités du bien penser à l’obsession des idées claires qui nous piège dans des caricatures de catégories.
L’engouement pour les pratiques participatives interroge : qui parle, pour qui et pour quoi ? Éclairage sur ces cercles de participation où les participant-e-s semblent ne jamais être les « bon-n-e-s ».
Nous sommes obnubilés par les informations négatives et les problèmes. Imaginons un seul instant les milliards d’interactions humaines positives nécessaires pour qu’une entreprise fonctionne bien.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)
Associate professor en économie - Grenoble Ecole de Management, F-38000 Grenoble, France - coordinatrice recherche Chaire Unesco pour une culture de paix économique - co-titulaire Chaire Territoires en Transition, Grenoble École de Management (GEM)
Professeur de Gestion des Ressources Humaines, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-être au travail et Paix Economique à Grenoble Ecole de Management, Grenoble École de Management (GEM)
Professeure Assistante au département Homme, Organisations et Société. Chaire Territoires en Transitions et Chaire UNESCO pour une Culture de Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)