Athmane Bakhta, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)
Les suggestions de plates-formes de contenu comme Netflix, Google ou Spotify, sont parfois enthousiasmantes, parfois inquiétantes. Comment font-elles pour si bien nous connaître ? Avec des maths pas si complexes.
Certains taxent les parents qui postent des photos de famille sur les réseaux sociaux de narcissisme. Mais ne devraient-ils pas plutôt se pencher sur le modèle économique de ces sites ?
Les nouvelles technologies permettent de gérer l’identité digitale post mortem des défunts en allant parfois jusqu’à les rendre virtuellement immortels.
Dans quelle mesure l’application chinoise TikTok, extraordinairement populaire chez les jeunes, spécialement aux États-Unis, offre-t-elle à Pékin un moyen d’influencer l’opinion américaine ?
Sophie Marineau, Université catholique de Louvain (UCLouvain)
L’épidémie de Covid-19 a donné lieu à une avalanche d’infox répandues notamment par des comptes gérés depuis la Russie. Comment cette désinformation fonctionne-t-elle, et quels sont ses buts ?
Derrière l’actuel bras de fer que se livrent Donald Trump et Twitter, on assiste à un combat qui oppose le président américain à l’ensemble des entreprises de l’Internet de la Silicon Valley.
L’alerte, lancée sur les réseaux sociaux, a révélé l’incurie de l’État et de l’entreprise, et suscité une attention médiatique nouvelle pour les menaces écologiques qui pèsent sur le Grand Nord.
Des tensions géopolitiques autour des données – très – personnelles aux stratégies des utilisateurs, découvrez les rouages d’un secteur à l’origine d’un mariage sur trois aux États-Unis.
Plusieurs chaînes YouTube de vulgarisation scientifique s’appuient sur la zététique : la pratique du scepticisme ou doute raisonnable. Si les contenus sont en général de qualité, des limites existent.
Depuis l’interruption des championnats, les fans du club de rugby anglais des Sale Sharks se rassemblent virtuellement pour continuer à pouvoir communier autour de leur équipe.
François Nicolle, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
À travers jeux et vidéos en direct, l’usage traditionnel d’Instagram a évolué pendant le confinement. Les motivations sociales ou créatives des débuts de la plate-forme ont été moins marquées
La proximité créée par le service du réseau social l’a imposé comme un divertissement incontournable en quelques semaines. Les marques l’ont d’ailleurs très bien compris.
Les premiers résultats d’une recherche collective permettent – en décodant les données des utilisateurs mobiles du réseau social Facebook – d’analyser les changements de mobilités en France métropolitaine.
L’épidémie de coronavirus a apporté son lot de nouveaux mots (« apérue », « coronabdos ») mais aussi de débats sur l’orthographe et la grammaire. De quoi éclairer la manière dont évolue une langue.
Pendant la phase de confinement « strict », de nouveaux groupes Facebook ont vu le jour, offrant une forme de soutien émotionnel et informationnel à leurs membres.
Depuis le début de l’épidémie, des pères du monde entier se mettent en scène sur les réseaux sociaux. Au-delà du divertissement, leurs vidéos montrent combien l’humour aide à surmonter la peur.
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School