L’obésité est une maladie qui partage plusieurs caractéristiques avec le cancer, mais qui n’est pas reconnue comme telle par la société. Les personnes atteintes sont moins susceptibles d’être traitées.
De nos jours, la sédentarité augmente et la durée de vie s’allonge, ce qui accentue le risque de dépendance chez les personnes âgées. Promouvoir l’activité physique pourrait limiter l’ampleur du problème.
À Montréal se trouve l’une des plus importantes banques de cerveaux au monde, la Banque de cerveaux Douglas-Bell Canada. Elle permet des découvertes sur différentes maladies neurologiques et psychiatriques.
Pendant la grossesse, la santé des femmes migrantes est plus à risque que celle des autres femmes qui vivent dans le même pays qu’elles. Une méta-analyse récente éclaire les causes de cette situation.
La bilharziose, une maladie parasitaire tropicale, est désormais présente en Europe. Pour la combattre, un seul médicament est actuellement disponible. Mais la génétique pourrait changer les choses.
Les initiatives pour permettre aux femmes de parler de santé et de bien-être au travail peuvent être formelles ou non. Mais elles doivent cibler les besoins individuels en matière d’accompagnement.
La douve du foie est un ver parasite qui infecte les animaux d’élevage et l’être humain, via la consommation de végétaux crus. Sa réémergence appelle à la vigilance, notamment dans le sud de l’Europe.
Les joueurs de rugby subissent souvent des blessures aux ischio-jambiers. De nouveaux travaux indiquent que cette susceptibilité pourrait avoir une double origine.
Olivier Klein, Université Libre de Bruxelles (ULB) dan Vincent Yzerbyt, Université catholique de Louvain (UCLouvain)
Comprendre les ressorts de l’hésitation vaccinale est essentiel pour mieux convaincre. Loin du cliché de l’antivax complotiste, les recherches de ces dernières années dépeignent un tableau nuancé.
Les bureaux « assis-debout » ont colonisé les lieux de travail, dans la perspective de réduire le temps quotidien passé en position assise. Mais rester debout, est-ce vraiment meilleur pour la santé ?
Nos choix en matière de transport influencent notre entourage. Ce levier pourrait être mis à profit par les décideurs pour améliorer l’efficacité des politiques visant à changer les comportements.
Faire de l’exercice physique 150 minutes par semaine serait environ 1,5 fois plus efficace contre la dépression que les médicaments ou la thérapie cognitivo-comportementale.
Les personnes nées grâce à un don de gamètes ou d’embryon peuvent désormais connaître l’identité des donneurs. Un an après la création de la commission chargée de les accompagner, voici un premier bilan.
Sarah McLean, Swinburne University of Technology dan Enzo Palombo, Swinburne University of Technology
Les animaux, y compris ceux qui vivent dans nos maisons, peuvent être porteurs de toutes sortes de maladies. La plupart du temps, cela ne pose pas problème. Mais il y a quelques précautions à prendre.
Les pailles de papier ou de bambou dites « écologiques » contiennent des PFAS, des « polluants éternels » associés à de nombreux problèmes de santé, tant chez les humains que chez les animaux.
Le tabagisme passif a de nombreuses conséquences pour les personnes qui y sont exposées. C’est en particulier le cas des enfants, dont l’exposition au plomb augmente de façon substantielle.
Le développement des compétences en littératie médicale permet aux patients de prendre des décisions plus réfléchies par rapport à leur propre santé. Mais un accompagnement adéquat est nécessaire.
Il est bien établi que l'activité physique régulière est bonne pour la santé. Mais attention à ne pas faire n'importe quoi, car dans certains cas, exercice trop intense peut rimer avec infarctus.
Professeur des universités, médecin hospitalier, Inserm 1107, CHU Clermont-Ferrand, Président de la Fondation Institut Analgesia, Université Clermont Auvergne (UCA)
Psychiatre du sujet âgé, chercheur associé au Laboratoire interdisciplinaire d'étude du politique Hannah Arendt (Université Paris-Est Créteil), co-directeur du département de recherche Éthique biomédicale du Collège des Bernardins, Collège des Bernardins
Professeur Emérite de Nutrition Université Sorbonne Paris Nord (Paris 13) - Praticien Hospitalier Département de Santé Publique, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord
Maitre de Conférence Université Paris 13, Praticien Hospitalier, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord