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ENSAE ParisTech

Créée il y a plus de 70 ans, habilitée par la Commission des titres d’ingénieur (CTI), l’ENSAE ParisTech est la seule grande école d’ingénieur spécialisée en économie, statistique, finance et actuariat. À l'ENSAE ParisTech, la maîtrise des outils mathématiques est le fondement de la double compétence en statistique et en économie, socle à partir duquel les élèves choisissent ensuite de se spécialiser dans des domaines d’application très variés. Les ingénieurs de l’ENSAE ParisTech ont ensuite vocation à travailler dans les secteurs tertiaires et industriels où l’innovation scientifique est prépondérante, notamment les banques et compagnies d’assurances, les grandes entreprises des secteurs de l’énergie et des transports, les sociétés de conseil, les instituts de sondage et d’études, les organismes publics français et internationaux.

L’ENSAE ParisTech et le centre de recherche qui lui est associé, le CREST (Centre de recherche en économie et statistique) forment un pôle d’enseignement supérieur et de recherche de premier plan qui fait partie du GENES (Groupe des écoles nationales d’économie et statistique). L’école est par ailleurs membre du réseau ParisTech. Elle a complété ses liens anciens avec les universités parisiennes par un partenariat avec l’Ecole d’économie de Paris et par la participation à la création de la Fondation du Risque.

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En 2019, le transport en France était ainsi le secteur le plus émetteur de gaz à effet de serre avec 30 % des émissions nationales. Wikimedia commons/Lionel Allorge

La demande de voitures neuves peu impactée à court terme par la hausse des prix des carburants

Une étude récente montre que l'effet à court terme sur les achats de véhicules d'une augmentation, conjoncturelle ou fiscale, des prix du carburant reste limité.
Le coût moyen annuel par habitant de l’embargo équivaut à une réduction de -0,7 % des dépenses nationales brutes dans l’Union européenne et de -2,3 % en Russie. Vasily Maximov / AFP

Gaz : un embargo coûterait trois fois plus à la Russie qu’à l’UE

L’économie russe se caractérise par une forte dépendance vis-à-vis de l’extérieur et par une faible capacité à compenser ses pertes par d’autres activités.
Contrairement aux idées reçues, ce sont les jeunes européens et nord-américains qui sont attirés par le faible coût des études en France. Shutterstock

Mobilités internationales : ce qui incite les étudiants à choisir la France

Est-il vraiment nécessaire d’augmenter les frais d’inscription dans l’enseignement supérieur pour faire reconnaître son excellence, comme le préconise le plan « Bienvenue en France » ?
Seulement un micro-travailleur sur 20 se connecterait à la plateforme plusieurs heures par jour. Kostenko Maxim / Shutterstock

Pourquoi l’estimation de 250 000 micro-travailleurs en France est exagérée

Des chercheurs reviennent sur l’estimation de 250 000 micro-travailleurs français, récemment relayée par la presse. Ils la jugent démesurée et expliquent pourquoi il faut la refuser.
Les effectifs d’étudiants en provenance des pays d’Asie, d’Amérique et de l’Union européenne sont en hausse à partir des années 2000. Shutterstock

Attirer les « meilleurs » étudiants étrangers : genèse d’une politique sélective

Les mesures actuelles promues par le gouvernement s’inscrivent dans le prolongement d’une politique sélective de l’immigration mise en place en France depuis 2003.
Financement d’infrastructures routières par les fonds du Recovery Act lancé par le président Obama en 2009 (ici dans le Montana). U.S. Forest Service/Flickr

Les politiques keynésiennes à l’aune des « expériences naturelles »

Plaidoyer pour un véritable dispositif expérimental dans les sciences économiques. Illustré par la question de l’effet des dépenses publiques sur l’activité : l’efficacité des politiques keynésiennes.
Portrait d'apprenti cuisinier et du chef dans une cuisine de collège du Val-de-Marne. David Merle Départ. Val de Marne / flickr

Il faut rénover l’apprentissage en profondeur

L’apprentissage doit être un projet prioritaire. Il faut le développer dans le second cycle du secondaire, en finir avec l’incroyable complexité du système, revoir sa gouvernance et son financement.

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