L’Institut de Physique du Globe de Paris est un Grand Établissement d’Enseignement Supérieur et de Recherche indépendant piloté par un Conseil d’Administration. Il est membre de la Communauté d’Universités et d’Établissements (COMUE) Université Sorbonne Paris Cité (USPC) et associé au Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS). Il rassemble environ 150 chercheurs de très haut niveau recrutés dans le monde entier, 170 ingénieurs et gestionnaires et plus de 190 doctorants de tous pays qui partagent la même passion pour les Sciences de la Terre et des planètes. Des accords de coopération avec un grand nombre d’institutions étrangères de grand renom permettent des recherches et des échanges dans tout le globe. L’IPGP héberge des moyens de calcul puissants et des installations expérimentales de dernière génération, et bénéficie d’un soutien technique de premier plan. Sa structure souple facilite l’émergence d’équipes de recherche dans les domaines les plus prometteurs.
En 2019, les universités Paris Diderot, Paris Descartes et l’institut de physique du globe de Paris fusionnent pour former l’Université de Paris. Cette nouvelle université couvre l’ensemble des champs disciplinaires. Son offre de formation est une des plus complètes et des plus ambitieuses proposées en France et à l’international. Université de « recherche intensive », ses objectifs la place au niveau des établissements français et internationaux les plus prestigieux : recherche au meilleur niveau dans le respect des règles éthiques et déontologiques, formation supérieure d’excellence, dynamisme de la vie étudiante, soutien à l’innovation et au transfert, construction de l’espace européen de la recherche et de la formation.
L’Université de Paris compte 61 000 étudiants, 4 500 enseignants-chercheurs, 22 écoles doctorales et 142 laboratoires de recherche. Visiter u-paris.fr.
La température du fond de l'eau et des sédiments est plus élevée dans cette zone en raison de la circulation de fluides chauds, ce qui favorise le développement de précipités minéraux (jaunes) et de tapis bactériens (blancs).
Anders Schouw, Projet CarDHynAl
Todd L Capson, Institut de physique du globe de Paris (IPGP) and Marie Boye, Institut de physique du globe de Paris (IPGP)
There is only a single mooring managed by French researchers that monitors the impacts of climate change on West African Canary Current.
Mise à l'eau des sismomètres de fond de mer. Largués au beau milieu de la nuit, ils mettront près d’une heure trente à atteindre le fond. Simon, l'ingénieur en charge de l’équipement, communique avec eux pendant la descente pour s'assurer que tout va bien. Les minutes sont longues…
Kristel Chanard
Dans les expéditions scientifiques, on ne trouve pas que de vieux loups de mer et des spécialistes du thème de la mission. Aujourd’hui, la vision de deux géoscientifiques novices en mer.
L’engin sous-marin Victor 6000 explorant une source hydrothermale.
Ifremer/Pix-factory
Philippe Labrot, Institut de physique du globe de Paris (IPGP); Charles Yana, Centre national d’études spatiales (CNES), and Philippe Lognonné, Institut de physique du globe de Paris (IPGP)
Mars et la Terre se ressemblent énormément, alors pourquoi notre planète abrite la vie à l’inverse de sa voisine ? La réponse pourrait venir de sa structure étudiée par la sismologie in situ.
Dessin d'artiste représentant l'atterrisseur InSight de la NASA après qu'il ait déployé ses instruments sur la surface martienne.
NASA/JPL-Caltech
Charles Yana, Centre national d’études spatiales (CNES) and Philippe Labrot, Institut de physique du globe de Paris (IPGP)
Depuis le mois de novembre 2018, un instrument enregistre l’activité sismique de la planète rouge. Les ondes renseignent les scientifiques sur la géologie et la structure martienne.
François Métivier, Institut de physique du globe de Paris (IPGP) and Olivier Berné, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Depuis 10 ans, les réformes de l’enseignement supérieur se succèdent. Mais la différence de traitement entre étudiants des universités et des grandes écoles est stable. Au profit de ces derniers.
Zone sinistrée après le passage d'un tsunami. Comment éviter ces catastrophes ?
telemal/Flickr
Robin Lacassin, Institut de physique du globe de Paris (IPGP) and Raphael Grandin, Institut de physique du globe de Paris (IPGP)
Oklahoma is trying to limit the number of earthquakes caused by oil and gas extraction, but some existing faults there – which could be activated by wastewater injection – have never been mapped.
La carte des séismes survenus aux États-Unis en 2016.
R. Grandin/IPGP
Robin Lacassin, Institut de physique du globe de Paris (IPGP) and Raphael Grandin, Institut de physique du globe de Paris (IPGP)
L’État de l’Oklahoma tente de maîtriser la sismicité induite par les activités pétrolières. Si les premiers effets de cette régulation se font sentir, une récente étude invite à redoubler d’efforts.
Le pont Aso Ohashi après les séismes dans la préfecture de Kumamoto.
Robin Lacassin, Institut de physique du globe de Paris (IPGP)
Non, les deux séismes au Japon et en Équateur ne sont pas liés. Les distances entre les deux évènements sont trop importantes. Explication des phénomènes en cause.
Le barrage de Monteynard en Isère, théâtre d’un séisme en 1963.
David Monniaux/wikipedia
Robin Lacassin, Institut de physique du globe de Paris (IPGP)
Les séismes induits par l’homme ne sont pas l’apanage des États-Unis. En Inde, en Chine, et aussi en Europe, de la Suisse à l’Espagne, des activités industrielles peuvent perturber les sous-sols.
Robin Lacassin, Institut de physique du globe de Paris (IPGP)
Le recours à la fracturation hydraulique pour exploiter les ressources pétrolières de l’Oklahoma provoque une augmentation inquiétante du nombre de séismes dans cette région des États-Unis.