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Institut français d'études sur l'Asie centrale

Créé en 1993, l’Iféac est sous la tutelle administrative du Ministère des affaires étrangères et bénéficie du statut d’unité de services et recherche du CNRS (USR 3140). Sa principale mission est de soutenir les chercheurs français et centrasiatiques travaillant sur la région en archéologie et dans toutes les disciplines des sciences humaines et sociales (histoire, sociologie, ethnologie, anthropologie, science politique linguistique, économie, géographie, etc.)

La compétence géographique de l’Institut s’étend sur les cinq républiques d’Asie centrale (Kazakhstan, Kirghizstan, Ouzbékistan, Tadjikistan, Turkménistan) et s’intéresse également aux dynamiques qui lient la région aux territoires voisins de Russie (Tatarstan et Bachkortostan), d’Afghanistan, d’Iran (Khorasan), de Chine (Xinjiang) et de Mongolie.

La mission de l’IFEAC:

Diffuser et mettre en valeur les activités scientifiques de l’IFEAC en partenariat avec les institutions locales de recherche Mettre en valeur les actions de coopération entre la France et l’Asie centrale dans la recherche en sciences sociales Relayer les activités des organismes français partenaires (laboratoires universitaires, UMR, instituts de recherche) L’IFEAC dispose d’une revue périodique, les Cahiers d’Asie centrale, disponible en ligne sur le site Revues.org (http://asiecentrale.revues.org). Le dernier volume est intitulé « Archéologie française en Asie centrale. Nouvelles recherches et enjeux socioculturels ».

Situé à Tachkent jusqu’en 2010, le siège régional de l’Iféac se trouve désormais à Bichkek, Kirghizstan et dispose d’une antenne à Douchanbé, Tadjikistan.

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Le président russe Vladimir Poutine s'entretient avec son homologue iranien Hassan Rohani lors d'une réunion du Conseil économique suprême de l'Union eurasiatique, à Erevan, le 1er octobre 2019. Alexei Druzhinin/Sputnik/AFP

La Russie bénéficie-t-elle vraiment des tensions entre l’Iran et les États-Unis ?

La Russie profite de la recrudescence des sentiments anti-américains au Proche-Orient après l’assassinat de Ghassem Soleimani. Mais elle n’aurait rien à gagner à une déstabilisation majeure de la région.
La crise au Cachemire pourrait bien déclencher une série d'événements politiques graves avec le Pakistan et l'Afghanistan. Un soldat surveille Srinagar, principale ville du Cachemire indien le 25 août. Tauseef Mustafa/AFP

Crise au Cachemire : quelles conséquences pour l’Asie du Sud ?

La crise au Cachemire pourrait porter lourdement atteinte à la sécurité du sous-continent asiatique.
Le porte-parole des Talibans, Mohammad Abbas Stanikzai, lors de pourparlers sur l'Afghanistan organisés à Moscou, en février 2019. Yuri Kadobnov / AFP

Afghanistan : peut-on faire la paix avec les talibans ?

Loin d’être une force extérieure ou marginale, les talibans sont une force politique et militaire bien enracinée, notamment dans l’Afghanistan rural, conservateur, principalement en zone pachtoune.
Des supportrices iraniennes dans un stade de Téhéran, lors du match amical contre la Bolivie, le 16 octobre 2018. Stringer/AFP

L’Iran face au terrorisme : un sursaut nationaliste salutaire… et risqué

Le nationalisme est un outil efficace en Iran pour unir face à un ennemi commun. Mais il peut aussi empêcher une remise en question pourtant nécessaire de certaines orientations politiques récentes.
A Ahvaz, le 24 septembre 2018, lors des funérailles des victimes de l'attentat commis deux jours auparavant. Atta Kenare / AFP

L’Iran face au terrorisme : un sentiment d’encerclement

Entre menace séparatiste et hostilité extérieure, l’attentat d’Ahvaz, commis le 22 septembre 2018, est perçu en Iran comme un facteur sérieux de déstabilisation du Golfe.
Le Président iranien Rouhani lors d'une visite à Vienne, le 4 juillet 2018. Georg Hochmuth/AFP

Demain, la guerre contre l’Iran ?

Encouragée par l’Arabie saoudite et Israël, l’administration Trump cherche à étouffer économiquement un Iran qui se sent assiégé. Une stratégie risquée qui pourrait à terme dégénérer en guerre ouverte.
Devant l'hôtel Intercontinental de Kaboul, le 22 janvier 2018, au lendemain d'une attaque terroriste. Shah Marai/AFP

Afghanistan 2018, le chaos et les talibans

Le gouvernement légal afghan ne tient véritablement que 30 % du pays face à des talibans qui profitent surtout des faiblesses et des erreurs de Kaboul, mais aussi de Washington.
A Téhéran, lors des funérailles des attaques du 7 juin 2017. Atta Kenare / AFP

L’Iran sur le qui-vive face à la menace djihadiste

Pour Téhéran, le danger djihadiste est au cœur des prises de décision sécuritaires depuis plusieurs années. La République islamique mène sa propre « guerre contre le terrorisme » sur deux fronts.

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