Le Pôle Léonard de Vinci est composé de quatre établissements d’enseignement supérieur délivrant des diplômes reconnus qui couvrent des champs disciplinaires complémentaires, notamment dans le secteur du numérique : une école de commerce, l’EMLV (Ecole de Management Léonard de Vinci) ; une école d’ingénieurs, l’ESILV (Ecole Supérieure d’Ingénieurs Léonard de Vinci), une école du digital, l’IIM (Digital School) et un établissement de formation continue, De Vinci Executive Education. 1 Laboratoire de recherche commun : De Vinci Research Center (DVRC) et 1 Centre d’innovation : l’Institute for Future Technologies (IFT).
En 2022, il compte 9500 étudiants et apprenants (dont plus de 2700 en alternance) au sein de ses 3 écoles et de son activité de formation continue, + de 18000 diplômés, 460 collaborateurs (dont + de 200 enseignants et enseignants-chercheurs) et plus de 1700 vacataires issus du monde universitaire et professionnel.
Créées en 1995, les écoles sont rassemblées au Pôle Léonard de Vinci à Paris-La Défense et depuis 2022, à Nantes. Le campus s’organise autour de valeurs communes que sont l’hybridation, la professionnalisation, l’internationalisation, l’ouverture sociale et le sport. L’hybridation est le résultat de la transversalité qui existe entre les écoles : cours & projets en commun, développement progressif et intensif des soft skills, incubateur, FabLab, vie associative, activités sportives, double-diplômes… Ingénieurs, managers, designers apprennent à vivre et à travailler ensemble au-delà des frontières de leur propre cursus.
Assurer la sécurité des manifestants, protéger l'ordre public, encadrer le droit à manifester : au-delà le a responsabilité des policiers, l'État est de plus en plus montrer du doigt sur ces dossiers.
1957–2017 : les Traités de Rome ont soixante ans. Un anniversaire à double tranchant, amenant à saisir l’audace et les réussites initiales de ces Traités, autant que les occasions et ambitions perdues.
La technologie de stockage et de transmission d’informations, rendue célèbre avec le bitcoin, fait ses débuts dans le domaine de la production d’énergie.
La gestion de l’incertitude Brexit fournit un cas d’étude intéressant, l’organisation UE étant à la fois en partie responsable et victime de l’incertitude et du risque observés.
Le développement rapide des objets connectés pousse à repenser les modèles économiques de la ville. Micro-business, économie circulaire ou multiplication des services, la donne urbaine change vite.
Dans les réseaux électriques du futur, la gestion de l’offre et de la demande en électricité passera par de nouveaux outils « intelligents »… et de nouveaux consommateurs.
La digitalisation de son point de vente n’est plus une option mais bien un prérequis. Quelles sont les tendances du retail où le consommateur fait aujourd’hui sa loi !
Quelle pourrait être la vie d’un résident dans un établissement pour personnes âgées dépendantes dans une dizaine d’années ? Une fiction au plus près du réel prévisible.
Servuction, intangibilité, périssabilité… et planter du bâton : petite leçon de marketing des services illustrée par les péripéties du film « Les bronzés font du ski ».
La palette émotionnelle des humains, créatures de chair et de sang, n’est pas transposable chez les robots : une machine ne peut avoir mal ni ressentir du plaisir. Mais elle simule de mieux en mieux.
Ces deux organisations sont parfaitement complémentaires. Mises en commun, on pourrait assister à la création d’un écosystème de travail collaboratif potentiellement très performant.
La pire réponse de « ceux qui restent » serait de reprendre à leur compte la pensée du héros du Guépard de Lampedusa : « Il a bien fallu que tout change pour que tout puisse rester comme avant ».
Les crises, lorsqu’elles ne débouchent pas sur des ruptures violentes et des catastrophes, peuvent être porteuses d’adaptations et d’innovations positives.
Tout ici et maintenant. À force de vivre par Internet interposé, les jeunes générations perdent leur capacité de réflexion. Dernier article de cette série sur les digital natives.
En période d’état d’urgence, le conflit larvé entre autorité judiciaire et autorité administrative pour le contrôle de la police ressort au grand jour. L’exécutif n’a rien fait pour harmoniser cela.