Créée en 1872, Sciences Po est une université qui se place parmi les meilleures en sciences humaines et sociales tant sur le plan national qu’international.
À ses 13 000 étudiants, dont 46% sont internationaux, Sciences Po offre des formations prodiguées par des chercheurs reconnus et par des enseignants issus de tous les univers professionnels.
Cette combinaison de l’analyse et de l’action caractérise Sciences Po qui, cultivant son lien étroit avec la société, est un acteur et un espace majeurs du débat public.
Attaché à développer l’esprit critique, la curiosité et la rigueur de ses étudiants, Sciences Po a l’ambition de former des professionnels capables de saisir la complexité des sociétés et des politiques pour les rendre meilleures.
Founded in 1872, Sciences Po is ranked among the top universities in the social sciences, both nationally and internationally.
Sciences Po’s 13,000 students, 46 percent of whom come from outside France, benefit from a faculty of leading academics and practitioners from a vast array of fields.
This combination of analysis and action is central to Sciences Po, a university that cultivates a close relationship with society and plays a major role in public debate.
Committed to developing students’ critical thinking, curiosity and rigour, Sciences Po aims to educate professionals with a keen understanding of complex social and policy issues and the will to address them.
Il ne s’agit sans doute pas tant de savoir à quel point la France est endettée mais à quel point la dette a pour corollaire des actifs, matériels ou non, dont les générations futures bénéficieront.
Les partisans de l’ex-premier ministre Imran Khan s’en prennent avec une véhémence sans précédent au pouvoir en place, qui veut emprisonner leur leader. Le spectre de la guerre civile rôde.
Durant la guerre froide, plus d’une centaine de pays en développement affichaient leur « non-alignement » vis-à-vis des grandes puissances. Cette notion a de nouveau le vent en poupe aujourd’hui.
L’écologie populaire existe et doit être reconnue, même si elle n’entre pas dans le cadre du discours écologique dominant défendant la politisation de ces enjeux.
Quatre ans après la chute du dictateur el-Béchir, le Soudan est déchiré par un conflit violent entre militaires. Ce conflit ne pourra être réglé qu’avec la participation des forces démocratiques.
Les indicateurs de santé et d’environnement permettent d’envisager des évolutions pour le « périf » qui transparaissent aujourd’hui dans les projets en cours.
Face à la menace que la Chine fait peser sur la région indo-pacifique, le Japon abandonne sa posture prudente traditionnelle, réarme massivement et se range résolument dans le camp des États-Unis.
Proposer un affichage environnemental pour une consommation alimentaire plus durable paraît une idée séduisante. Cependant, la méthodologie officielle peut conduire à des contre-performances.
La Turquie de Recep Tayyip Erdogan cherche à jouer les médiateurs dans le conflit russo-ukrainien, retrouvant ainsi une place centrale dans la géopolitique régionale, voire mondiale.
Pour certains intellectuels, l’antiracisme s’est transformé en racisme (antiracisme racialiste, dit-on souvent). Comment expliquer ce mouvement et caractériser le courant qui s’en réclame ?
Si la mobilisation contre les mégabassines semble marquer une rupture dans le militantisme écologiste en France, elle s’ancre en réalité dans des tendances déjà à l’œuvre.
En trois jours, la Finlande vient de changer de gouvernement et de rompre avec sa neutralité historique en rejoignant l’OTAN. Ce pays discret se retrouve au cœur de l’actualité internationale.
Un récent ouvrage propose une radiographie du poutinisme en évitant aussi bien l’écueil de la focalisation excessive sur la personnalité du président russe que celui du déterminisme culturel.
Après avoir prospéré au Moyen-Orient, le djihadisme impose sa loi au Sahel, où la présence française n’aura pas réussi à protéger les populations de risques sécuritaires et humanitaires.
La Russie et la Chine coopèrent étroitement et s’opposent souvent ensemble à l’Occident. Ces deux puissances ne constituent pas, pour autant, un bloc soudé face aux États-Unis et à l’UE.
Sept ans durant, Riyad et Téhéran se sont regardés en chiens de faïence. Le rétablissement de leurs relations diplomatiques, officialisé à Pékin, aura de nombreux effets dans la région.
Alors que les points de tension se multiplient entre Pékin et Washington, la transition vers un leadership chinois passera-t-elle forcément par un affrontement militaire avec les États-Unis ?
Chercheuse au Centre des études de sécurité de l'Institut français des relations internationales (Ifri), chercheuse associée au Centre de recherches internationales (Ceri, Sciences Po/CNRS), Sciences Po