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Université de Poitiers

Fondée en 1431 par le pape Eugène IV, puis confirmée par les lettres patentes du roi Charles VII, l’Université de Poitiers compte dès l’origine cinq facultés : théologie, droit canon, droit civil, médecine et arts.

Dès le xvie siècle, l’Université de Poitiers rayonne sur la vie culturelle de la ville. à cette époque, elle est citée comme la seconde université de France, après Paris ; 4 000 étudiants fréquentent l’université, dont certains deviendront célèbres : Joachim du Bellay, Guez de Balzac, François Rabelais, René Descartes, Francis Bacon, Scévole de Sainte Marthe… Passée la Révolution, qui supprime les universités provinciales, l’Université de Poitiers renaît et s’enrichit de nouvelles facultés : lettres, sciences…

L’Université de Poitiers rassemble actuellement 26 000 étudiants et emploie plus de 3 000 personnes : enseignants et enseignants chercheurs / Bibliothécaires, ingénieurs, administratifs, techniciens, ouvriers, de service et de santé (BIATSS) / Attachés temporaires d’enseignement et de recherche (ATER) / lecteurs / maîtres de langues / contractuels doctorants / contractuels et vacataires.


The University of Poitiers, founded in 1431 by Pope Eugene IV, later confirmed by French King Charles VII’s letters patent, was originally composed of five Colleges: theology, canon law, civil law, medicine and arts. After the French Revolution, which abolished provincial universities, the University of Poitiers was refounded and strengthened by the addition of new colleges (literature and science) during the 19th century. Today, the University of Poitiers currently serves more than 23,000 students and employs more than 3,000 people.

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On dénombre aujourd’hui en France quelque 12 000 emplois dans les 153 coopératives d’activités et d’emploi.

Et si le Covid renforçait les solidarités entre travailleurs autonomes ?

La crise a stimulé l’intérêt pour les coopératives d’activités et d’emploi en France, au sein desquelles les postes proposés hybrident la liberté de l’entrepreneuriat et la sécurité du salariat.
Les pyramides de Méroé, dans l'actuel Soudan, à environ 250 kilomètres au nord-est de Khartoum, vieilles de plus de 2 000 ans, sont les vestiges de l'ancien royaume de Kouch. Ashraf Shazly/AFP

Il y a 200 ans, l’émotion de la découverte de Méroé par Frédéric Cailliaud

En 1821, l’explorateur français Frédéric Cailliaud participe à une expédition organisée en Nubie par le vice-roi d’Égypte et découvre une nécropole légendaire…
Les expressions haineuses sont aujourd'hui fréquentes sur les réseaux sociaux. Andrea Piacquadio/Pexels

La haine : émotion honteuse ?

Si la définition de la haine est stable au cours de l’histoire, son expression et sa considération sociale évoluent en fonction des technologies et des contextes.
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Débat : Pourquoi le numérique doit s’apprendre à l’école

L’agilité avec laquelle la jeune génération jongle entre smartphones et réseaux sociaux cache en fait des lacunes importantes en termes de compétences numériques que l’école à distance a révélées.
De nombreuses recherchent suggèrent que le regard des enfants sur les différences qu’ils observent dans la classe est biaisé. Shutterstock

Comment les élèves interprètent-ils les écarts de réussite en classe ?

D’après la recherche en psychologie, la façon dont les élèves expliquent ces différences a des conséquences importantes sur la motivation, les performances scolaires et la construction des inégalités.
Il n’y a pas une seule manière d’insulter et le sens accordé aux insultes peuvent varier en fonction des enjeux des situations scolaires vécues. Shutterstock

Ce que révèlent les insultes entre élèves

Les insultes fonctionnent comme des catégories de classement qui manifestent possiblement, dans l’univers scolaire, des rapports de pouvoir, qu’il est important d’analyser.
Le numérique n’est pas seulement une technologie. Il correspond aussi et surtout à des transformations de nos sociétés et de nouveaux « arts de faire ». Shutterstock

Faut-il renoncer au numérique pour l’éducation ?

Certes, il faut se demander ce que l’on peut faire du numérique à l’école, mais aussi voir ce que le numérique fait à l’école. Comment la met-il sous tension, à mesure qu’il change la société ?
Etudiants logeant au CROUS de Poitiers, début avril: Nelly (Burundaise), Khaled (Algérien), Chris (Togolais), Papa Oumar (Sénégalais), Michel (Guyane française), Oumar (Nigérien), Maurin (Gabonais). P.O Ndiaye

Le calvaire des étudiant·e·s africain·e·s confiné·e·s en France

Laissé·e·s à leur sort par leurs États d’origine et ignoré·e·s sur les questions de précarité par leur État d’accueil, les étudiant·e·s africain·e·s en France sont les parents pauvres de la crise sanitaire.
Née dans les années 1960, la Radio Télévision scolaire devait faire entrer la télévision dans l'école. L'inverse se produit-il aujourd'hui avec le confinement ? methodshop from Pixabay

L’école s’invite à la télé

Les écoles sont fermées mais les cours continuent, assure le ministère de l’Éducation. Pour maintenir le lien avec les familles, il compte sur Internet, mais investit aussi des médias plus anciens.
Le numérique ne suffit pas à motiver les élèves, la nature des activités et la qualité de l'accompagnement sont déterminants. Shutterstock

Covid-19 : heurs et malheurs de la continuité pédagogique à la française

Peut-on reproduire avec l’enseignement à distance les conditions d’apprentissage dans une classe ? Ou s’agit-il d’innover ? Retour sur les moyens à disposition des 12 millions d’élèves français.

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