La promotion de l’activité physique et sportive sera la grande cause nationale de 2024. Mais la communication interroge : seules les personnes déjà actives semblent intégrer les messages.
Comment lutter contre la sédentarité des jeunes ? C’est un problème mondial à l’heure des écrans. Zoom sur la Finlande qui a mis en place des politiques en faveur de l’activité physique.
Les bureaux « assis-debout » ont colonisé les lieux de travail, dans la perspective de réduire le temps quotidien passé en position assise. Mais rester debout, est-ce vraiment meilleur pour la santé ?
Nos choix en matière de transport influencent notre entourage. Ce levier pourrait être mis à profit par les décideurs pour améliorer l’efficacité des politiques visant à changer les comportements.
L’organisation des Jeux olympiques peut-elle être un levier pour lutter contre la sédentarité des élèves ? C’est dans cet esprit qu’a été lancé le dispositif « 30 minutes d’activité physique par jour ».
Aurélien Bigo, École polytechnique and Kévin Jean, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
La voiture est au centre de nos mobilités, ce qui limite l’usage des transports actifs, tels que la marche ou le vélo. Une situation dont les impacts sanitaires dépassent la seule pollution de l’air.
Pour lutter contre la sédentarité, l'Éducation nationale veut encourager l'activité physique des élèves. Mais les objectifs des cours d'EPS vont bien au-delà des enjeux de santé publique.
La Ville de Paris organise le dimanche 2 avril 2023 une votation citoyenne pour décider de conserver ou d’interdire les trottinettes en libre-service. Notre dossier pour se faire un avis.
Organiser les Jeux olympiques peut-il susciter chez les jeunes l’envie de se mettre au sport ? Le comité d’organisation l’espère. Mais la motivation repose sur des rouages complexes.
De la Chine à l’Italie en passant par le Canada, les enfants sont devenus plus sédentaires avec la pandémie. Quelques pistes pour renverser la tendance en cette semaine olympique et paralympique.
Quand on pense à un enfant qui fait ses devoirs, on l’imagine sagement assis à un bureau. Or de nombreux travaux de recherche soulignent l’importance du mouvement pour les apprentissages.
Que l’on souffre de maladies chroniques, que l’on reprenne le sport ou que l’on souhaite juste s’entretenir, adapter son activité physique est la clé pour en maximiser les effets santé.
Exposés depuis l’enfance à de nombreuses injonctions pour manger plus sainement, les jeunes sont en quête de repères qu’ils vont rechercher prioritairement au sein de communautés virtuelles.
Avec les restrictions liées à la crise sanitaire, la détresse psychologique augmente chez les étudiants. Pour endiguer ce mal-être, les établissements tentent de miser sur l’activité physique.
De courtes périodes d’activité de 20 secondes répétées tout au long de la journée permettent d’améliorer ses capacités cardiovasculaires, d’être plus productif et d’avoir plus d’énergie.
Nous connaissons tous les bienfaits de l'activité physique, mais sommes moins conscients des dommages que peut causer l'inactivité, même pour de courtes périodes, surtout chez les gens âgés.
Pour beaucoup d’adolescents, le cours d’éducation physique et sportive est le seul moment d’activité sportive dans la semaine. Comment lutter contre la sédentarité en temps de confinement ?
Professeur Emérite de Nutrition Université Sorbonne Paris Nord (Paris 13) - Praticien Hospitalier Département de Santé Publique, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord
Maitre de Conférence Université Paris 13, Praticien Hospitalier, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord