L’examen du classement mondial des pays selon le degré de corruption que vient de rendre public Transparency International confirme que la corruption alimente la guerre, et réciproquement.
Une étude mondiale classe la France en troisième position derrière la Suède et la Finlande. Des marges de manœuvre pour faire encore mieux existent, notamment en matière d’achats responsables.
Au-delà du PIB et des émissions de gaz à effet de serre, il faut recourir à des systèmes de mesure plus complexes pour apprécier la réalité des performances environnementales des États.
Les poursuites contre deux figures du vignoble bordelais accusés d’être « juges et parties » révèlent les limites de l’évaluation des crus, un critère déterminant dans les décisions d’achat.
Les illusions de la méritocratie sont au cœur de nombreux ouvrages en librairie. Retour sur les questions soulevées par le travail de la sociologue Annabelle Allouch autour des concours.
Alessia Lefébure, École des hautes études en santé publique (EHESP)
L'édition 2021 du classement de Shanghai vient de paraître. Comment cet outil de pilotage initialement dédié aux universités chinoises a-t-il engagé une guerre internationale des standards ?
Le scepticisme a longtemps régné au sujet des universités chinoises et des publications de leurs chercheurs. Mais, depuis une vingtaine d’années, la situation a profondément changé.
Des entreprises qui se classent bien sur certaines listes évaluant les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), arrivent en bas d’autres listes. À quels classements se fier ?
Alessia Lefébure, École des hautes études en santé publique (EHESP)
La pandémie a donné un coup de frein à la mobilité étudiante dans le monde. Les universités américaines en sont bien sûr affectées. Mais elles font face aussi à une baisse des inscriptions nationales.
Avoir un recours plus raisonnable à la notation, voilà une demande qui se renforce à l’école, alors même que l’évaluation s’infiltre au quotidien dans les gestes des citoyens et consommateurs.
À long terme, l’intégration ou le maintien d’une entreprise dans l’index de durabilité du Dow Jones attire l’attention des analystes financiers et les investissements.
Chaque été sort le 15 août la nouvelle mouture du « classement de Shanghai ». La communication qui l’entoure n’est-elle pas disproportionnée par rapport à sa qualité technique ?
Le fait d’être dans une classe de « bon » niveau est en général corrélé avec de meilleurs acquis scolaires. Mais ne faut-il pas prendre en compte d’autres paramètres, d’ordre psychologique ?
Des entreprises où il est réputé stressant de travailler, comme les cabinets de conseil, figurent en tête du classement « Best Workplaces 2019 ». Comment expliquer ces résultats contre-intuitifs ?
Le « Thinkers 50 » vise à établir qui sont les 50 penseurs en management les plus influents. Quels sont les critères de classement ? Qu’est-ce qui explique la présence d’un auteur sur cette liste ?
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)