Le concept de bien-être social permet de comprendre pourquoi, en dépit des progrès réalisés pour répondre aux besoins humains les plus fondamentaux, la crise climatique est toujours là.
Être amical au travail peut accroître le bonheur et la productivité. Si on veut tirer le meilleur parti de sa vie professionnelle, le mieux est d’essayer de créer des amitiés.
Les indicateurs de santé et d’environnement permettent d’envisager des évolutions pour le « périf » qui transparaissent aujourd’hui dans les projets en cours.
La notion de « pouvoir d’achat » peut assez facilement être instrumentalisée car différentes mesures sont possibles. Cependant, peu correspondent au ressenti réel des ménages.
À travers sa satire féroce de l’univers du développement personnel, Blanche Gardin nous invite à réfléchir à notre vision du bonheur et à insuffler du second degré dans notre rapport au bien-être.
La promotion du bonheur n’a jamais été aussi intense. Tou(te)s semblent s’être converti·e·s à ce nouvel eldorado social. Alors « don’t worry, be happy »… mais à quel prix ?
Les observatoires du bonheur se multiplient. Ce souci du bien‑être semble faire contrepoids à l’obsession pour la croissance. Avec le risque que les « experts du bonheur » imposent leurs lois ?
Associate professor en en économie - Grenoble Ecole de Management, F-38000 Grenoble, France - coordinatrice recherche Chaire Unesco pour une culture de paix économique - co-titulaire Chaire Territoires en Transition, Grenoble École de Management (GEM)
Professeure Assistante au département Homme, Organisations et Société. Chaire Territoires en Transitions et Chaire UNESCO pour une Culture de Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)