Les critères de beauté évoluent, et la pilosité n’échappe à la règle, nous renseignant au passage sur les rôles de genre dans la société.
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Si la laideur est aujourd’hui une valeur à la mode, c’est tout simplement parce que la beauté ne l’est plus.
La demande des consommateurs pour des produits et des expériences authentiques fabriqués à la main a permis d’élever le cachet culturel de professions telles que les baristas et créateurs de cocktails.
Les fantasmes liés à l’imaginaire du surf transforment la pratique en compétition, contraignent les corps et reconduisent des stéréotypes de genre souvent caricaturaux.
Si le plaisir de l’expérience artistique bourgeoise n’est pas physique, « Top Chef » célèbre au contraire les joies de la bonne chère tout en montrant la maîtrise artistique des candidats.
Le nombre d’or, nommé aussi proportion divine, dicte un rapport harmonieux entre les différentes parties d’un objet ou d’une image.
Nous retrouvons dans l’art des sons l’infinie variété des émotions que peuvent nous causer les événements réels, mais épurés de leur réalité, et transfigurés par la puissance de l’art.
Les interactions intrafamiliales ayant trait au soin du cheveu et à la coiffure représentent des instances privilégiées pour l’étude de la socialisation raciale des enfants.
Les mimiques, les expressions faciales s’effacent sous le tissu. Nous devons ainsi nous défaire d’un élément majeur du non-verbal, notre sourire.
Bien plus que l’apparence physique, la crédibilité et la proximité perçue avec la communauté expliquent le succès de ces stars des réseaux sociaux.
Les kits de blanchiment bon marché pour les dents pourraient finir par vous coûter plus cher que prévu…
En Amazonie, être transgenre parmi les populations amérindiennes questionne nos concepts de beauté, de sexualité et de rapport au corps.
Plutôt qu'un parangon de la culture populaire, Johnny Hallyday est le symbole du divertissement, élevé au rang d'art par les politiques publiques depuis les années 1980.
Utiliser des termes réservés au domaine de la nutrition pour désigner des cosmétiques n’est pas vraiment nouveau. La crème qui nourrit est un concept déjà présent au début du XXᵉ siècle.
Dans son ouvrage « La Forme animale » paru en 1948, le biologiste suisse propose une approche phénoménologique de la nature qui laisse toute sa place à l’émerveillement.
Top contributors
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Maître de conférences en pharmacie industrielle et cosmétologie, Université de Nantes, Auteurs historiques The Conversation France
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Professeur en galénique et cosmétologie, Université de Nantes, Auteurs historiques The Conversation France
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Professeur émérite de Science politique Université de Bourgogne, Université de Bourgogne
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Ingénieure de recherche, Université de Bourgogne, Auteurs historiques The Conversation France
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Professeur de psychologie clinique, Université de Lorraine
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Maître de Conférence à l'Université de Picardie Jules Verne et chercheur au laboratoire Habiter le Monde, Université de Picardie Jules Verne (UPJV)
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Directrice, Direction de la Recherche et des Etudes Doctorales (DRED), Université Paris Nanterre, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
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Associate professor, PSB Paris School of Business
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Chercheuse post-doc, EHESS, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
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Full Professor, Pôle Léonard de Vinci
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Associate professor in marketing and Research Chair in Complexity and Markets, Concordia University
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Professor of Restorative Dentistry, University of Birmingham
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Maîtresse de conférences en civilisation de l'Espagne contemporaine, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
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Maître de conférences, Université Clermont Auvergne (UCA)
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Doctorante en Psychologie, Université de Lorraine
