Exposés par leurs parentes sur les réseaux sociaux, les « kid influencers » constituent un phénomène lucratif mais controversé en raison des questions éthiques et juridiques qu’il soulève.
Jouets, vêtements, nourriture pour bébés, couches… pour certains parents, les vidéos de tests produits mis en ligne sur les réseaux sociaux constituent désormais leur principale source de revenus.
Capables de toucher diverses communautés et permettant aux marques de se présenter sous une image futuriste, les influenceurs biodigitaux sont de plus en plus utilisés dans les publicités.
La diversité et l'ampleur de l'influence socionumérique ne sont pas suffisamment prises en compte par la loi sur les influenceurs adoptée au printemps.
Depuis quelques années, les athlètes de haut niveau s’emparent des plates-formes comme Instagram ou TikTok pour changer la perception du public sur l’image traditionnellement véhiculée.
La récente loi visant à lutter contre la publicité trompeuse sur les réseaux sociaux ne répond pas aux défis que posent les comptes virtuels entièrement pilotés par des IA.
Une loi visant à renforcer les exigences de transparence auprès du consommateur a été adoptée, le 30 mars. Aujourd’hui, moins d’un influenceur sur deux déclare ses partenariats de manière conforme.
Les expériences négatives d’achat de produits vantés par les stars des réseaux sociaux incitent certains consommateurs à entrer en résistance face aux nouvelles pratiques du marketing en ligne.
Les créateurs de robots d’apparence humaine veulent nous familiariser avec la présence des robots dits sociaux dans notre quotidien en les dotant d’une illusoire sentience.
Plus fiables, moins chers, toujours disponibles, les influenceurs virtuels sont aussi incroyablement populaires et rencontrent un franc succès auprès des consommateurs.
Les influenceurs comblent des besoins affectifs et d’informations. Ils sont perçus comme des modèles en qui leurs abonnés se reconnaissent ou auxquels ils aspirent à rassembler.
Les influenceurs de la droite alternative française utilisent habilement les codes de YouTube, Instagram ou TikTok pour diffuser leur idéologie auprès des jeunes générations.
Une recherche montre que les contenus présentant des messages désagréables et mis en ligne sur de multiples plates-formes sont davantage susceptibles de faire le buzz.
Exposés depuis l’enfance à de nombreuses injonctions pour manger plus sainement, les jeunes sont en quête de repères qu’ils vont rechercher prioritairement au sein de communautés virtuelles.
Avec l’essor des médias sociaux et la popularité des contenus générés par les utilisateurs, les photos sont devenues un moyen de communication très populaire pour les informations liées aux voyages.
Professeure Associée en Marketing _ Directrice des Programmes MSc Marketing et MSc Digital Marketing & Data Analytics, Grenoble École de Management (GEM)