Jean Debrie, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne and Juliette Maulat, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Comment ont évolué les pratiques et les politiques de mobilité depuis la crise de Covid-19 ? Y a-t-il vraiment eu un « un monde d’après » ? Étude du cas francilien.
Céline Burger, Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA)
Les mobilités urbaines sont au cœur des préoccupations. L’urbanisme tactique semble être une opportunité de gérer la crise de la Covid-19 et l’établissement de la distanciation physique.
Troisième destination œnotouristique en France, la région de l’est capitalise sur 10 siècles de traditions et dispose de nouveaux de leviers de développement à activer.
Les villes ne tenant pas leurs données à jour, ce sont les cyclistes eux-mêmes qui sont les meilleurs pour cartographier les pistes cyclables de leurs villes.
La question n’est pas tant de savoir comment planifier physiquement nos villes différemment, mais plutôt comment convaincre le public et les politiciens de réaliser ce changement.
Les efforts pour développer de nouvelles formes de mobilité doivent s’intensifier dans les zones peu densément peuplées, les plus vulnérables à la dépendance automobile.
Les ventes de véhicules particuliers ont connu une forte progression en 2017. Une évolution qui a contribué à la hausse des émissions de gaz à effet de serre et polluants en France.
Un plan présenté en septembre 2018 propose d’accompagner le déploiement du vélo en France. Les outils numériques au cycliste peuvent grandement y aider.
Cette catastrophe rappelle l’accident de la navette Challenger du à des raisons non pas techniques mais organisationnelles et managériales. Analyse d’un chercheur… qui ne trouve pas de Vélib’.
Lionel Maurel, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Les déboires de la société Gobee révèlent la difficulté à faire émerger des biens communs dans les espaces urbains tels qu’ils sont gérés par la puissance publique ou investis par le marché.
Fabriquer la ville ne doit pas être réservé aux élites : les citoyens doivent pouvoir s’approprier l’espace urbain et mobiliser leur créativité pour réinventer le quotidien.
Faut-il livrer l’espace public urbain à la concurrence (sauvage) entre opérateurs de vélos partagés ? Ou doit-on gérer avec soin les fonctions de ce type n prenant en compte tous les coûts ?
Le marché se divise en deux populations, celle des vélos qui moutonnent en station, accrochés à des bornes, et celle qui papillonne sans attache. Entre eux, c’est la lutte pour la vie.
Risques sanitaires et économiques, la pollution de l’air menace les habitants des villes et l’attractivité des zones urbaines qui y apportent des réponses plus ou moins efficaces.
L’inactivité physique représente un coût de 80 milliards d’euros par an dans la zone européenne. Et le niveau de pratique des Européens stagne, voire diminue. Analyse d’une étude transnationale.
Conservateur des bibliothèques, chargé de mission pour la valorisation de l'information scientifique et technique, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières