L’idée que les dégâts économiques causés par le Brexit puissent être ressentis au plan mondial, donc outre-Atlantique, inquiète de plus en plus les Américains.
Malgré l’obsession de la presse américaine pour l’« empire » Fox News, l’idée que la chaîne d’information exerce un pouvoir politique sans précédent aux États-Unis est excessive.
Joe Biden a-t-il pris la mesure des mutations récentes et de l’amplification du féminisme depuis 2016, ou en fera-t-il les frais lors de la prochaine présidentielle ?
Les résultats records des femmes lors du scrutin des midterms montrent que la parité politique est en train de devenir la norme aux États-Unis. Et la France ? Peut mieux faire !
En quelques séries, Netflix devient le porte-parole des féministes, des Afro-Américains, des hyper séniors, des LGBTQ, mais aussi, dans une moindre mesure, de l’écologie…
Alors que la désapprobation grondait face à sa querelle post-mortem avec McCain, le livre de Woodward a fait germer l’idée que Donald Trump pourrait être quelqu’un de peu sûr de lui et de manipulable.
Le retrait de Total et PSA le prouve: la question de l’extra‑territorialité des mesures de sanctions américaines pose un casse‑tête inextricable aux législateurs et aux juristes européens en Iran.
Il faut imaginer des pistes pour l’après-Bachar, renouer le dialogue avec Moscou comme Téhéran, incontournables en Syrie, ou assumer le risque d’un engrenage possible engagé par Donald Trump.
Au lendemain des rassemblements du 24 mars, tout le monde semble bien d’accord sur ce qui va arriver dans les prochains mois, voire les prochaines années : rien.
Clément Therme, École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS)
L’UE et la France, acteurs économiques majeurs en Iran, ont les moyens de mettre en œuvre une diplomatie originale mêlant exigence sur les droits humains et coopérations économiques.
Cette crise met en lumière les conséquences négatives qui résultent des difficultés des pays d’Amérique centrale et du Sud à mettre en place des programmes de coopération transfrontalière.
Maya Kandel, Université Sorbonne Nouvelle, Paris 3
La montée en puissance de la présence de l’Afrique dans les intérêts américains découle de l’évaluation en hausse constante de la menace terroriste venue du continent.
Le débat qui va s’ouvrir après la tuerie de Las Vegas sur la circulation des armes dans le pays ne va mener nulle part. Car celles-ci font partie de l’histoire, mieux de la culture américaine.
La présence de Donald Trump au défilé militaire du 14 juillet a illustré un aspect important de la relation entre les deux pays : en dépit des brouilles (fréquentes), le poids de l’Histoire demeure.
Le président des États-Unis a renoncé à abroger le système d’assurance santé voulu par son prédécesseur. À la recherche d’une légitimité idéologique, il persiste cependant à vouloir le réformer.
Du « Sommet de la Terre » à Rio en 1997 au récent retrait de l’Accord de Paris en juin 2017, Washington a toujours traité les négociations climatiques sous l’angle économique.
Avec le nouveau système, il vaudra mieux être jeune, en bonne santé et vivre dans un État tel que le Massachusetts plutôt qu'être plus âgé, avec quelques pépins de santé et vivre en Arizona.