La révolution numérique bouscule les modèles classiques de transmission. Comment ouvrir l’école sur le monde ? Réflexions autour de l’exposition « Trop classe », conçue par l’architecte Fiona Meadows.
La pandémie du Covid-19 nous oblige à accélérer la transformation à l’échelle mondiale des pratiques de partage des connaissances et de collaboration tout au long de la vie.
Alors que la classe inversée remodèle la distribution des cours et des apprentissages personnels, la classe renversée invite les étudiants à co-construire les enseignements. Une méthode engageante.
Tout élève ajuste son investissement à un contexte précis et aux bénéfices qu’il peut en espérer. Voilà une constante de la psychologie humaine à ne pas négliger pour adapter sa pédagogie.
Dans un monde où le savoir semble à portée de clic, on invoque de plus en plus l’autonomie des apprentissages. Or l’expertise enseignante et les liens sociaux restent essentiels à toute progression.
Derrière leurs attraits, les innovations pédagogiques ne sont pas si faciles à installer sur le terrain. Quelques clés pour surmonter les écueils inévitables.
La « flipped class » et les MOOC vont‑ils révolutionner les apprentissages ? Analyse critique, alors que les MOOC semblent en crise. Et qu’il faut revoir la pratique de la classe inversée.
Dans un environnement globalisé de plus en plus compétitif, les MOOC pourraient devenir un outil d’éviction à terme des institutions académiques les moins performantes. Voici pourquoi.
Professeur de théologie à la la Faculté Notre-Dame, co-directrice du séminaire de recherche Ecole et république du Collège des Bernardins, Collège des Bernardins