Donald Trump a été un président populiste. Comprendre les racines du populisme aux États-Unis et ailleurs est essentiel pour faire face à sa montée et à la menace qui pèse sur la démocratie.
Donald Trump a récolté plus de 30 % du vote latino lors de la dernière présidentielle. Un score important qui ne constitue pas pour autant une percée spectaculaire et s’explique par plusieurs facteurs.
Entre projets démocratiques et retour vers l’autoritarisme, l’Amérique latine peut être considérée comme un observatoire des changements et des crises politiques.
Même si la Constitution américaine confère au président des pouvoirs considérables en matière militaire, les contrepoids sont suffisants pour l’empêcher de conserver le pouvoir par la force.
Réconcilier les Américains, promouvoir les droits des femmes, reprendre le fil d’une politique étrangère que son prédécesseur a profondément marquée : Joe Biden n’aura pas la tâche aisée.
Les mouvements de droite populiste ne paraissent pas, pour l’heure, tirer profit de la pandémie de coronavirus. L’hypothèse d’un cycle de « déclin » populiste paraît cependant peu probable.
La transition entre Donald Trump et Joe Biden est chaotique, le sortant refusant d’admettre sa défaite. Jusqu’où peut-il aller et a-t-on connu pareille situation dans l’histoire américaine ?
Résultats d’une enquête comparative mesurant l'impact de la crise sanitaire et économique sur les droites national-populistes en Allemagne, France, Italie et Suisse ainsi qu’aux États-Unis.
Nos connaissances, y compris scientifiques, demeurent un construit social. Aussi, notre rapport à la vérité et notre capacité d’appréhender le réel sont toujours entachés de subjectivité.
L’insulte en politique n’a pas été inventée par Trump, juste mise en exergue dans sa campagne. L’histoire montre que le duel langagier et les invectives relèvent du fondement même de la politique.
Si la plupart des Américains sous-estiment la place qu’occupe le suprémacisme blanc dans l’armée, ils s’en inquiètent quand on leur en apporte la preuve.
En quatre ans à la Maison Blanche, Trump a multiplié coups d’éclat, déclarations tapageuses, mesures populistes…Jusqu'à l'attaque du Capitole par ses partisans. Retour sur un mandat sans précédent.
Selon les républicains, la grande réforme du système de santé votée sous Barack Obama est dysfonctionnelle et trop coûteuse. Or malgré son coût élevé, cette loi a déjà atteint ses objectifs.
Le complotisme n’est évidemment pas né avec les réseaux sociaux et de Donald Trump. Relire certains penseurs comme Michael Walzer permet d’éclairer utilement ce phénomène.