Victor Violier, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
L’arrestation du président de la gigantesque Académie russe de l’économie nationale et de l’administration publique montre que la répression s’exerce désormais jusque dans les rangs du pouvoir.
Les États-Unis se présentent encore comme la première puissance mondiale… La réalité est désormais toute autre : depuis plusieurs années, le pays subit un déclin relatif – lent mais inévitable.
À quoi ressemblent donc les Big Brother postsoviétiques ? Petit tour d’horizon littéraire, du « Slynx » à « Empire V », en passant par la « Journée d’un Opritchnik ».
Le montant de la dette russe détenue à l’étranger reste actuellement relativement faible, ce qui minimiserait les conséquences de son non-remboursement sur le reste de l’économie. Décryptage.
La résistance acharnée que l’Ukraine oppose à la Russie pourrait ne pas suffire à dissuader la République populaire de Chine de chercher à récupérer Taïwan par la force.
La Lituanie vient de bloquer le transit de nombreux biens vers l’exclave russe de Kaliningrad. Moscou promet de réagir. Analyse d’un bras de fer aux enjeux stratégiques majeurs.
L’Inde se positionne comme neutre dans la guerre que mène la Russie en Ukraine. Elle semble en tirer profit. Mais cela n’augure rien de bon pour les droits humains dans le monde.
Jean-Luc Maurer, Graduate Institute – Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID)
Si les pays « du Nord » condamnent à une très large majorité la Russie, ceux « du Sud » sont nombreux à rechigner à s’associer aux sanctions. Assiste-t-on au retour du mouvement des non-alignés ?
Le maintien à des niveaux élevés du prix du pétrole ainsi que les réactions de Moscou aux mesures occidentales soutiennent le cours du rouble. Décryptage.
Le procès et la condamnation à mort, dans la « République populaire de Donetsk », de trois combattants étrangers capturés par l’armée russe constituent une violation claire du droit de la guerre.
Les discours russe et chinois sur l’Ukraine et Taïwan ont beaucoup en commun, aussi bien sur les plans identitaire et stratégique qu’au niveau politique.
L’Union européenne a déjà adopté six paquets de mesures depuis le début de l’invasion russe en Ukraine. Désormais, les marges de manœuvre des Vingt-Sept se réduisent.
Autour de ces objets d’art se joue une querelle muséale, culturelle et mémorielle qui ouvre une nouvelle ligne de front dans le sanglant conflit russo-ukrainien.
La guerre se déploie aussi en large part sur le terrain informationnel et médiatique. Les discours et les modes de communication des deux parties sont radicalement opposés.
Même affiche et même lieu qu’en 1981 : un parfum de football d’antan ? Certes, les clubs ne sont certes pas propriété d’un État ou d’un oligarque, mais l’analyse demande néanmoins une certaine nuance.
La guerre en Ukraine menace la pérennité des relations israélo-russes. En dépit d’une coopération bilatérale croissante, les tensions se sont exacerbées au cours des dernières semaines.
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School
Professeure des universités en études russes et soviétiques, Université de Rennes 2, chercheuse au CERCLE (Université de Lorraine), Université Rennes 2
Post-doctorant au Centre d'études sociologiques et politiques Raymond Aron (EHESS), Docteur en science politique associé au Centre de recherche Europes-Eurasie (CREE) de l'INALCO, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)