Pascale Levet, iaelyon School of Management – Université Jean Moulin Lyon 3
Les dispositifs existants répondent aujourd’hui mal aux aspirations des salariés concernés qui sont nombreux à vouloir poursuivre une activité professionnelle malgré la maladie.
Natacha Tréhan, Grenoble IAE Graduate School of Management
Changer régulièrement de partenaire, c’est prendre le risque de ne plus être approvisionné… Ou bien de l’être avec des produits qui ne satisfont pas ses objectifs environnementaux.
Selon une étude, la faible prise en compte des attentes nées de la crise sanitaire, parfois perçue comme du mépris, a conduit à un repli sur soi dans l’entreprise.
Dans les établissements ou service d’aide par le travail (Esat), les professionnels doivent souvent dépasser les frontières classiques du rôle managérial.
Qu’est-ce qui fait ainsi courir les femmes et les hommes vers des responsabilités de plus en plus intenables ? Un texte de Xénophon éclaire sur le rôle essentiel que joue le regard des autres.
Une personne sur trois n’ose pas se tourner vers le fournisseur en cas de difficultés. En cause : le sentiment de honte, mais aussi les doutes sur les capacités des interlocuteurs à les résoudre.
Clé dans la transformation des entreprises en faveur du changement climatique, la transparence financière a progressé, mais inégalement et de manière insuffisante.
Comment comprendre qu’une pratique si difficile à définir se voie pourtant strictement cadrée ? Derrière une relation d’aide, sans doute faut-il aussi considérer la présence d’un échange marchand…
Les solutions qui reposent sur la donnée et les algorithmes permettent aujourd’hui d’optimiser la recherche de nouveaux partenaires et la relation avec les fournisseurs. Mais qu’en sera-t-il demain ?
Les impératifs économiques ne suffisent pas à expliquer la poursuite des activités du cimentier entre 2011 et 2014. Des facteurs liés à l’organisation de l’entreprise ont également pu peser.
Les redressements judiciaires liés à la levée des mesures d’aide annoncée par le gouvernement entraîneront des coûts à la fois directs et indirects variables selon le type d’entreprise concernée.
Malgré une plus grande reconnaissance du problème par les entreprises, les biais inconscients lors de l’embauche favorisent encore et toujours les hommes.
Les fonds propres des banques et les dépenses de l’État rendent largement surmontables les défauts sur les prêts garantis par l’État, qui auront globalement rempli leur rôle avec succès.
Les scandales des moteurs truqués interrogent la marge de manœuvre laissée aux dirigeants et invitent, peut-être, à renforcer l’exercice par les conseils d’administration de leurs contre-pouvoirs.
Le climat des affaires semble désormais très favorable à la croissance et aux États-Unis. La reprise se trouve cependant menacée par des tensions sur les chaînes d’approvisionnement et sur les prix.
Entre le télétravail de moins en moins populaire et les inconvénients du bureau révélés par les confinements, les tiers-lieux pourraient s’avérer un bon compromis. Ils restent néanmoins méconnus.
Martin Chadoin, Université du Québec à Montréal (UQAM) and Elise Ledoux, Université du Québec à Montréal (UQAM)
Le télétravail n’est pas qu’une rupture du cadre de travail classique, c’est une transformation radicale de la nature même du travail. Les entreprises devront en tenir compte pour s’adapter.
L’Union européenne a proposé en mars dernier de rendre juridiquement contraignantes des mesures qui ont fait leurs preuves, même si, seules, celles-ci ne lèveraient pas toutes les barrières.
Le statut apparu avec la loi Pacte donnerait aux entreprises un rôle politique qu’elles ne devraient pas avoir, leur vocation sociale étant avant tout de réaliser des profits… et de payer des impôts !
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)