Une analyse des 20 dernières années indique l’existence d’un mouvement ancien qui s’est intensifié depuis 2013, probablement en raison de comportements mimétiques entre enseignes.
Publier ses comptes en normes IFRS, qui améliorent la qualité de l’information financière, peut constituer une solution pour faciliter l’accès au crédit.
En période de crise, l’accès au crédit-fournisseur est facilité par la relation de confiance bâtie avec l’entreprise, alors que les banques décident sur la base d’indicateurs quantitatifs.
Les emprunteurs exerçant dans les secteurs d’activité avec lesquels la banque travaille le plus bénéficient généralement de montants supérieurs pour leurs emprunts.
Si la Conférence à l’origine du système monétaire international s’est achevée en juillet 1944, la ratification n’est intervenue qu’un an et demi plus tard. Entretemps, beaucoup de choses ont changé…
Sans outrepasser les règles qui fixent son mandat, la Banque centrale européenne dispose d’un ensemble de leviers pour contribuer à atteindre l’objectif européen de neutralité carbone d’ici 2050.
Dans une enquête réalisée par l’Edhec, la majorité des répondants estime que l’intégration des critères environnement, social et gouvernance permet de réduire l’exposition au risque de long terme.
Une étude montre que le plafonnement de la taille des prêts pratiqué dans plusieurs pays peut paradoxalement conduire à une réduction du financement des plus petits projets.
Afin de répondre au mieux aux Objectifs de développement durable, il manque encore aux efforts entrepris par ces institutions financières une cohérence globale.
L’essor des technologies entraîne une multiplication des projets dans les directions des systèmes d’information, incitant les organisations à se doter de compétences spécifiques pour les coordonner.
Une égalité de traitement dans l’ensemble d’une société permettrait une meilleure représentation des femmes dans la gouvernance dans entreprise, selon une étude réalisée dans 25 pays.
Régis Marodon, Agence française de développement (AFD)
Les banques de développement, qu’elles soient internationales, nationales ou locales, doivent tourner tous leurs efforts vers les secteurs essentiels aux équilibres sociaux et environnementaux.
La crise n’a pas remis en cause l’engouement grandissant du public et surtout l’attrait des investisseurs : l’année 2020 aura permis aux éditeurs d’enregistrer des levées de fonds records.
Pour les sociétés qui gèrent les autoroutes françaises, le coût du capital diminue fortement depuis 10 ans. Cette tendance s’est répercutée sur leur niveau de rentabilité, sans bénéficier à l’usager.
Pour les sociétés de biotechnologies actuellement lancées à la recherche d’un moyen d’endiguer l’épidémie, un échec décevrait les espoirs des investisseurs et compliquerait leur situation post-Covid.
Les établissements testent actuellement des solutions pour automatiser les tâches à faible valeur ajoutée en agence. Les robots qui simulent les émotions apparaissent comme une piste intéressante.
L’engagement vers des modèles plus responsables contribue notamment à une meilleure réputation des établissements et à une réduction du risque d’insolvabilité.
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)
Chargé de recherche, Fondation pour les Etudes et Recherches sur le Développement International (FERDI); Chercheur associé au CERDI (UMR UCA-CNRS-IRD), Université Clermont Auvergne (UCA)