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Articles on microbes

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Lorsque vous vous séchez, vous déposez des milliers de cellules cutanées et des millions de microbes sur la serviette. (Shutterstock)

À quelle fréquence devez-vous laver vos draps et vos serviettes ?

Alors qu’une semaine ou deux suffisent généralement pour les draps, il est préférable de laver les serviettes tous les deux jours. Voici les explications d’un microbiologiste.
Une mauvaise hygiène bucco-dentaire peut déséquilibrer les colonies de bactéries qui peuplent la bouche et augmenter le risque de développer des pathologies sérieuses, notamment des maladies cardiovasculaires. PeopleImages.com - Yuri A/Shutterstock

Pourquoi bien se brosser les dents prévient des maladies graves, grâce à de bonnes bactéries

Nous négligeons souvent notre hygiène bucco-dentaire. Des recherches ont pourtant montré que la présence de bactéries nocives dans la bouche peut augmenter le risque de survenue de certaines maladies.
Les pellicules sont principalement causées par la levure Malassezia. Cette levure vit sur la peau de la plupart des gens, soit à la surface, soit dans l’ouverture du follicule pileux, la structure qui entoure la racine et la mèche d’un cheveu. (Shutterstock)

Voici comment vous débarrasser de vos pellicules, selon la science

Les pellicules existent depuis des milliers d’années. Voici comment vous débarrasser des vôtres.
Quand on entre dans un jacuzzi, tout ce qu'on a sur notre peau se dépose dans l’eau chaude qui tourbillonne autour de nous. Shutterstock

Champignons, virus, bactéries… Voici ce qu’a trouvé une microbiologiste dans les spas – et ce n’est pas ragoûtant

Lorsqu’on se détend dans l’eau chaude d’un spa, il est fort probable qu’on respire ou avale les bactéries, les virus et les champignons des personnes qui partagent le bain avec vous.
La fonte des sols gelés (ici, Sibérie) laisse ressortir des organismes anciens : mégafaune mais aussi virus. Sergey Shakuro/Shutterstock

La fonte du permafrost de l’Arctique libère d’anciens virus : faut-il s’inquiéter ?

Un virus a été réveillé en laboratoire après 50 000 ans passés dans le permafrost sibérien. Un phénomène qui peut se produire dans la nature suite au réchauffement climatique. Qu’en sait la science ?
Sur cette image obtenue par microscopie électronique à balayage (MEB), on peut voir deux amibes (Acanthamoeba polyphaga). L'amibe de droite est au stade de trophozoïte, capable de se déplacer. L'amibe de gauche est au stade kystique : entourée d’une paroi qui la protège, elle est en dormance. CDC/ Catherine Armbruster; Margaret Williams

Empêcher les amibes de se bunkériser pour mieux les éliminer

Quand les conditions deviennent hostiles, de nombreux microbes forment des kystes, des formes dormantes leur permettant de survivre jusqu’à plusieurs décennies. Un problème quand on veut les éliminer…
Les bleuetiers appartiennent à la famille des Éricacées, tout comme les rhododendrons ou la canneberge. (Simon Morvan)

Apprivoiser le bleuetier sauvage (et ses microbes !)

Le bleuet sauvage, cette petite baie bleue qui ravit les papilles est très populaire en raison de ses qualités gustatives, mais aussi de ses bienfaits pour la santé. Mais comment est produit ce fruit ?
Comprendre les étapes décisives franchies fin XIXe s. en microbiologie est fondamental pour comprendre la situation actuelle. fotohunter/Shutterstock

La révolution microbienne racontée par Hector Lebrun, témoin privilégié du XIXᵉ siècle

La crise du Covid a révélé les carences en culture scientifique – et en microbiologie. D’où l’intérêt de redécouvrir les travaux pionniers, notamment via le regard d’un expert du XIXᵉ, Hector Lebrun.
Outre le fait que manger une crotte de nez est dégoûtant, cela revient à ingérer des germes contenus dans le mucus, des métaux toxiques et des contaminants environnementaux. (Shutterstock)

Voici comment gérer vos crottes de nez, selon la science

En secret, dans la voiture ou sur des serviettes de table, nous le faisons tous. Et pour être franc, c’est très satisfaisant.
Les propriétés du sirop d’érable peuvent être influencées par différents facteurs, d’origine environnementale, végétale, microbiologique et technologique. (Shutterstock)

Les mystères du sirop d’érable : tout est dans la sève… et les microbes !

Le mystère entourant le goût du sirop d’érable réside entre autres dans la complexité chimique fine de cet aliment, qui est d’ailleurs très variable d’un sirop à l’autre.
Un blob Physarum polycephalum. Le Bernemi/Wikimedia

Camille : « C’est quoi un blob ? »

Quelle est cette étrange créature ? Pas un animal, ni une plante, pas non plus un champignon. Le blob fascine par ses prouesses.

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