Les conférences prédatrices, vous connaissez ? Un scientifique a endossé les habits du détective et nous fait découvrir les dessous de ces évènements forts lucratifs.
Le terme « méta-analyse » désigne une synthèse des études scientifiques réalisées sur un sujet, une analyse d’analyses. Comment procède-t-on ? Qu’apportent-elles ? Quelles sont leurs limites ?
Un laboratoire, c’est un lieu, bien sûr, mais aussi une structure intellectuelle où chacun travaille pour un objectif commun. Il est possible de l’organiser de façon réfléchie.
Les bonnes pratiques scientifiques doivent pouvoir se transmettre. Encore faut-il identifier les méthodes. C’est un travail que se doit d’être collectif.
Des chercheurs de l’Université de Miami étudiant les effets du réchauffement climatique sur le corail en avril 2016.
Joe Raedle/AFP
La « Marche pour les sciences » qui aura lieu aussi en France demain est l’occasion de rappeler qu’en travaillant à l’avancée des connaissances les scientifiques aident les citoyens.
Surveillance citoyenne des caprins aux États-Unis.
GlacierNPS/Wikipédia
L’implication du public dans la fabrique des connaissances s'organise avec ce que l’on appelle les sciences participatives. Elles sont diverses, et rencontrent un grand intérêt.
Hall d’expériences et bâtiment de l’anneau de stockage de l’ESRF.
P.Ginter/ESRF
La « Big Science » et ses emblématiques équipements scientifiques – tels les synchrotrons – est un bel objet d’étude pour le sociologue. Un article en collaboration avec la revue Mondes sociaux.
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne