Jérôme Mousset, Ademe (Agence de la transition écologique)
La biomasse a une place à jouer dans la transition écologique, mais ne négligeons pas les autres fonctions qu’elle occupe et anticipons sa fragilisation par le changement climatique.
Éclairage réaliste de l’aménagement forestier sur le Nitassinan de Pessamit, s’appuyant sur les données des inventaires forestiers du gouvernement du Québec.
Fabien Verniest, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) and Isabelle Le Viol, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
La protection des zones humides joue un rôle clé dans l’adaptation des oiseaux au changement climatique. Pourtant, nombre d’entre elles ne sont toujours pas protégées.
L'exploitation du Parc national des oiseaux de Djoudj] est plombée par des pratiques administratives héritées de la colonisation et l'expansion de l'agro-industrie.
Au début des années 2000, ce petit joyau de biodiversité est devenu un terrain d’étude et de restauration à la suite d’un programme d’élimination d’une population de rats envahissants.
Les progrès récents dans la manière dont les organisations mesurent les performances en matière de durabilité pourraient conduire à une approche véritablement authentique de la durabilité.
Maxime Thomas, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Hugo Asselin, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Mebarek Lamara, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), and Nicole Fenton, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
Les activités humaines peuvent affecter les plantes, ce qui a des conséquences pour les populations humaines qui les consomment.
Joan van Baaren, Université de Rennes 1 - Université de Rennes
Les populations d’insectes déclinent rapidement. Si certains peuvent nous causer des problèmes, l’immense majorité nous est utile, voire indispensable.
Miguel Montoro Girona, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT); Guillaume Grosbois, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), and Mélanie Arsenault, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
Le castor est un important ingénieur d’écosystème en forêt boréale, mais sa dynamique d’occupation du territoire et son patron d’utilisation des huttes restent encore méconnus.
Testé à Senlis, ce système tend à valoriser, à l’échelle d’un territoire, les actions de coopération et d’épargne d’énergie menées par ses membres, avec une monnaie indexée sur l’état de la nature.
Maxence Martin, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) and Nicole Fenton, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
L’éloignement et les dimensions modestes des arbres des vieilles forêts boréales ne doivent pas nous faire oublier leur haute importance écologique, ainsi que les nombreuses menaces pesant sur elles.
Philippe Grandcolas, Centre national de la recherche scientifique (CNRS) and Martine Hossaert, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Après Montréal, la prochaine étape importante concernera la publication des politiques nationales dans le domaine de la lutte contre le recul de la biodiversité marine et terrestre.
Des recherches sur un fongicide montrent que les effets sur l’abeille domestique se traduisent par des dégâts sur la reine, la qualité de sa reproduction et sa descendance.
Victor Danneyrolles, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC); Raphaël Chavardès, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), and Yves Bergeron, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
Les forêts boréales Nord-américaines brûlent beaucoup, sûrement de plus en plus depuis les 60 dernières années. Pourtant, la tendance à long terme indique qu’elles brûlent moins qu’il y a 150 ans.
Claudio Mura, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC); Patricia Raymond, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), and Sergio Rossi, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)
Le climat en rapide changement présente de nombreux défis à affronter pour assurer la durabilité des écosystèmes forestiers. La migration assistée est un outil qui permet de faire face à ces enjeux.
Régis Marodon, Agence française de développement (AFD)
Respecter les engagements d’aide climatique pris au bénéfice des pays les plus pauvres ne pourrait-il pas aller de pair avec le verdissement chaque année de 2 % des actifs financiers mondiaux ?
Il ne viendrait à l’idée de personne de manger un animal en voie de disparition comme le lynx ibérique. Alors pourquoi mangeons-nous encore des anguilles ?
Directeur de recherche CNRS, systématicien, directeur de l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Directeur de recherche CNRS, Expert for Conservation Biology, Axa Chair for Functional Mountain Ecology at the École Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)