Des éléments comme la marque, les brevets, ou encore le nombre d’utilisateurs d’un service, difficiles à quantifier, jouent un rôle essentiel dans le prix d’acquisition d’une entreprise.
L’un des États les plus pauvres du monde vient d’annoncer que ses citoyens pourront désormais régler leurs achats en bitcoin. Une décision pour le moins discutable…
Le projet du patron de Tesla pour le réseau social qu’il vient de racheter pourrait entrer en contradiction avec la nouvelle réglementation des services numériques européenne.
Selon un travail de recherche, les entreprises qui se livreraient à trop d’explications quant à leurs pratiques en ligne risquent de développer de la suspicion chez leurs clients.
En favorisant les relations sociales en distanciel, la pandémie a contribué à diffuser les usages au cœur des mondes virtuels en 3D, dont l’essor est analysé dans un récent ouvrage. Extraits.
La montée en puissance des plates-formes, qui s’est accélérée depuis le printemps 2020, complexifie la réponse envisagée par les États en matière de régulation.
Les phénomènes d’addiction ou les impacts négatifs sur la sexualité des adolescents semblent difficiles à endiguer tant l’offre en ligne est aujourd’hui pléthorique et facile d’accès.
Les plates-formes digitales alimentent une concurrence par la rapidité entre utilisateurs, les poussant à être les plus réactifs, les plus à la mode et les plus avertis.
Découvrez en avant-première des extraits du livre « Les Entreprises hyperpuissantes : Géants et Titans, la fin du modèle global ? » de François Lévêque (Éditions Odile Jacob).
Après leur lancement, les géants de l’économie numérique ont commencé par racheter rapidement des entreprises de leur secteur avant d’élargir le champ tout au long de leur développement.
Myriam Ertz, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)
La pandémie a fait émerger des plates-formes comme Le Panier Bleu ou Ma Zone Québec, qui combinent le commerce en ligne et l’achat local. Ces initiatives ont-elles un avenir à long terme ?
La stratégie des géants de l’économie digitale repose sur la création de liens déséquilibrés avec l’ensemble des autres acteurs de l’écosystème, ce qui freine in fine l’innovation.
Les GAFA, seuls, ne règleront pas les problèmes financiers des médias. D’autres entreprises bénéficient des contenus journalistiques et doivent partager la richesse que ces contenus leur procurent.
Les mesures pour freiner la deuxième vague de la pandémie fragilisent de nouveau l’industrie du cinéma, qui se relevait peu à peu avec la reprise de la fréquentation des salles pendant l’été.
L’approche par la mesure du bien-être, qui visait à dépasser le seul calcul du coût de production, reste encore incomplète pour évaluer le poids des services en ligne gratuits dans le PIB.