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Articles on extrême droite

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Geert Wilders (de dos) au soir des législatives du 15 mars : « Le génie ne retournera pas dans la lampe. » Robin Utrecht /AFP

Aux Pays-Bas, Geert Wilders a déjà gagné la bataille des idées

Le soupir de soulagement poussé par l’Europe après les législatives est mal avisé : au-delà des urnes, Geert Wilders a réussi à imposer ses idées et ses thèmes dans le paysage politique néerlandais.
François Fillon en campagne, le 2 mars 2017, à Nîmes. Pascal Guyot/AFP

Les médias font-ils l’élection ?

L’impact des médias réside moins dans le poids des révélations sur tel ou tel candidat que dans l’orientation des électeurs sur certaines figures ou thèmes de campagne.
Poupées russes représentant Vladimir Poutine et Donald Trump sur un étal à Moscou. Free Wind 2014/Shutterstock

La nouvelle Internationale planétaire des nationalistes

Cela fait plus de dix ans qu’on assiste, à travers toute la planète, à une forte hausse des crispations souverainistes, des irruptions d’anxiété identitaire et de xénophobie.
Marine Le Pen, Frauke Petry (Allemagne), Geert Wilders (Pays-Bas) et Marcus Pretzell (AFD), début janvier 2017, à Coblence (Allemagne). Roberto Pfeil / AFP

L’Union européenne face au défi réactionnaire

Si l’UE est menacée aujourd’hui, ce n’est pas seulement par sa difficulté à faire face aux pressions économiques et politiques objectives, mais bien parce qu’elle incarne un autre monde.
Sur la base aérienne d'Andrews, dans le Maryland, le 17 février 2017. Nicholas Kamm/AFP

Trump, déjà un mois, et ce n’est que le début…

Celui qui avait promis de « nettoyer le marécage de Washington », d’être celui qui pourrait tout changer et s’opposer, seul contre tous, à la machine du pouvoir, fait désormais face à l’establishment.
Marine Le Pen sur France 2, le 9 février 2017. Thomas Samson / AFP

Le FN en 144 engagements, et 140 signes

Loin de réduire la pensée, la communication sur les médias sociaux, sur Twitter en particulier, est d’une grande force et efficacité. La preuve par le FN.
Donald Trump ( et son équipe ) dans le bureau ovale devant le « Resolute desk » le 25 janvier 2017. Karl-Ludwig Poggemann/Flickr

Faut-il avoir peur de Trump ?

Des idées pour répondre aux trois défis – protectionniste, géopolitique et populiste – lancés par la politique annoncée par le nouveau président américain.
Deux des figures de proue de l'ère de la poste-vérité: le britannique Nigel Farage et Donald Trump, le 24 août 2016, dans le Mississippi. Jonathan Bachman / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP

Quand l’exigence de vérité devient secondaire…

Les propos mensongers se banalisent, s’oublient et ne sont plus sanctionnés. À l’inverse, ils peuvent être perçus comme un outil de questionnement et de confrontation vis-à-vis des élites dirigeantes.
Devant le Centre culturel islamique où a eu lieu l'attentat, le 30 janvier 2017. Alice Chiche / AFP

Attentat contre une mosquée à Québec : les racines du mal

La figure du loup solitaire pianotant sa haine sur un clavier a quelque chose à la fois de pathétique et de rassurant pour une société qui cherche à se dédouaner de la monstruosité qu’elle engendre.
Qui est le plus fort ? DonkeyHotey/Flickr

2017 ou l’avènement de l’Homme fort

L’élection de Donald Trump comme 45ᵉ président des États-Unis marque un nouveau tournant en politique : l’ère assumée de l’homme fort.
Prestation de serment, le 20 janvier 2017, à Washington. Mandel Ngan / AFP

Donald Trump aux commandes, ou la stratégie du flou

Le risque est grand, pour le nouveau président américain, d’être mis en difficulté, et même contredit par le Congrès qui, contrairement à lui, connaît le jeu politique sur le bout des doigts.
Renouer avec l'esprit du jeu, du débat et prendre conscience des clichés permet de se confronter aux idéologies des extrême-droite et leur impact auprès des élèves. Peggy Marco/Pixabay

Comment enseigner à l’heure de la « post-vérité » ?

Dans un monde « post-vérité », comment les enseignants peuvent-ils répondre à la rhétorique de la « droite alternative » ?
Le discours du 17 janvier 2017 de Theresa May sur le Brexit, vu d'un magasin de télévisions. Paul Ellis/AFP

Brexit : le Royaume-Uni sort, ses idées restent

De facto, l’Europe est déjà « à l’anglaise ». Même en son absence, le Royaume-Uni risque fort d’occuper une chaise vide, celle de l’invité fantôme, et de continuer à influencer les politiques.

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