La décision d’investir dans une campagne est liée à la possibilité pour les financeurs potentiels d’échanger des informations entre eux et avec le porteur de projet, ce qui est rarement possible.
Xavier Richet, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
La Chine avance posément ses pions dans les Balkans occidentaux dans le cadre de son projet dit des « Nouvelles routes de la soie », mais le ralentissement économique actuel pourrait changer la donne.
Le cadre des objectifs de développement durable établi par l’ONU reste suffisamment vaste pour que les firmes sélectionnent d’abord ceux qui leur conviennent le mieux.
Les fonds destinés aux femmes visent à mettre fin à l’écart entre les sexes dans le monde entrepreneurial. Mais de nombreux investisseurs considèrent encore les entrepreneures comme peu compétentes.
L’Afrique a besoin d’investissements massifs. Mais ceux-ci se réalisent à travers la montée de l’endettement public, ce qui est porteur de certains risques.
Certaines des vives réactions au sujet de la Légion d’honneur décernée au président de la filiale française de BlackRock comportaient plusieurs approximations sur le fond.
Lors du dernier Forum économique mondial, les grandes entreprises semblent avoir pris conscience que les marchés, aujourd'hui défaillants, ne permettraient pas d'atteindre une croissance soutenable.
Aux États-Unis ou encore en Europe, les entreprises revoient actuellement leurs politiques financières face à une période attendue de croissance plus faible.
La faiblesse de l’activité économique et la hausse du coût du crédit ont découragé certains entrepreneurs dans leur projet, ce qui a pesé sur l’emploi et la productivité au niveau macroéconomique.
S’il semble excessif de prédire une fin du travail ou de nier que certaines transitions seront difficiles, il est clair que la nature du travail évoluera fortement. Comment s’y préparer ?
Des initiatives politiques, économiques ou encore sociales illustrent aujourd’hui les mutations à l’œuvre au Moyen-Orient et en l’Afrique du Nord qui pourraient redessiner l’avenir de ces régions.
Selon une étude, plus de 9 économistes sur 10 en France estiment qu’une relance budgétaire provoquerait un accroissement du revenu, contre 4 sur 10 en Allemagne.
Dans le mouvement de consolidation que connaît aujourd’hui le secteur du luxe, les cibles potentielles se font de plus en plus rares pour les grands groupes…
Certaines sociétés ne craignent pas d’engager des fonds dans des États peu stables, sans avoir recours à la protection de traités bilatéraux. Elles mobilisent pour cela leur influence politique.
Stabilité, lutte contre la corruption… au-delà des enjeux d’influence, de multiples raisons poussent les États à créer des institutions pour piloter leurs investissements à l’étranger.
L’utilisation des technologies « made in France » permet de mieux respecter l’environnement, adapte les usages à nos modes de consommation, et renforce la protection des données personnelles.
Une étude exploratoire souligne l’enjeu de la cocréation d’informations au sein de la foule sur les plates-formes de CF afin d’influencer la prise de décision individuelle des investisseurs potentiels.
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)
Professeur émérite en économie, Université Sorbonne Nouvelle 3, Co-anmateur du séminaire BRICs: Brésil-Russie-Inde-Chine : Approche comparative et l'avenir de l'économie mondiale, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)