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Articles on maladie d’Alzheimer

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Au milieu des années 1980, les élevages bovins britanniques ont été touchés par ce qui allait devenir la plus célèbre des maladies à prions : la maladie de la vache folle. AngelaAllen/Shutterstock

De la vache folle à Parkinson et Alzheimer : que sait-on des maladies à prions ?

Tremblante du mouton, maladies de la vache folle ou de Creutzfeldt-Jakob… Ces affections mortelles sont le fait d’une protéine infectieuse. Les mêmes mécanismes existeraient dans les maladies d’Alzheimer et de Parkinson.
Notre cerveau n’est peut-être pas l’organe stérile que l’on imaginait… r.classen/Shutterstock

Notre cerveau pourrait lui aussi avoir son propre microbiote

On pensait jusqu’à présent que le cerveau était stérile, préservé des micro-organismes par la barrière hématoencéphalique. Mais des travaux menés ces dernières années sèment le doute…
Des recherches ont montré qu’une diminution du volume de l’hippocampe précède les signes de déclin cognitif chez les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. (Shutterstock)

Alzheimer : une nouvelle étude établit un lien entre le déclin cognitif et la taille d’une zone du cerveau

Cette étude montre qu’au moins deux mécanismes différents conduisent au déclin cognitif, tant chez les personnes en bonne santé que chez les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.
Légende Dans les maladies d’Alzheimer, de Parkinson ou dans d’autres maladies neurodégénératives, les protéines qui s’agrègent dans le cerveau sont appelées « prion-like » car elles peuvent se comporter comme des prions. Roman Bodnarchuk/Shutterstock

Protéines de type prion : quels liens avec Alzheimer et d’autres maladies neurodégénératives ?

Une étude révèle que des patients traités à l’hormone de croissance ont développé une forme précoce de la maladie d’Alzheimer 40 ans après. On fait le point sur les protéines de type prion en cause.
Lorsqu’un locuteur en bonne santé ne parvient pas à trouver un mot de son lexique qu’il a l’impression de connaître, les spécialistes du langage parlent du phénomène du « mot sur le bout de la langue ». (Shutterstock)

Est-ce normal d’oublier des mots quand on parle  ? Quand doit-on s’inquiéter  ?

Nous avons tous déjà oublié le mot dont nous avions besoin au milieu d’une phrase, et nous connaissons la sensation de l’avoir sur le bout de la langue. Mais quand est-ce que l’on doit s’inquiéter ?
Le manque de sommeil ou sa mauvaise qualité font parties des facteurs de risque de développer la maladie d'Alzheimer. Heureusement, il y a des méthodes pour améliorer son sommeil. (Shutterstock)

Mieux dormir, un facteur de protection contre la démence

Le sommeil semble jouer un rôle essentiel dans plusieurs fonctions cérébrales, comme la mémoire. Un sommeil de bonne qualité pourrait donc jouer un rôle primordial dans la prévention de la démence.
Changer son mode de vie peut être la meilleure façon de retarder l’apparition de la démence ou de ne pas la développer du tout. (Shutterstock)

Changer son mode de vie peut réduire les risques de démence – mais il faut le faire maintenant

Les risques de démence liés au mode de vie sont complexes. Des facteurs tels que le sommeil, l’exercice et l’alimentation interagissent avec la réserve cognitive, la neuroplasticité et l’inflammation.
Des données récentes font soupçonner que certaines maladies dégénératives liées au vieillissement, dont la maladie d’Alzheimer, pourraient être liées à des problèmes de réparation des cassures de l’ADN. Shutterstock / Ground Picture

Alzheimer : une nouvelle explication généralisable à toute maladie liée au vieillissement ?

Alors que les recherches sur les deux principales pistes d’explication de la maladie d’Alzheimer piétinent, des données récentes ouvrent une troisième voie, impliquant des problèmes de réparation de l’ADN.
Les méthodes expérimentales à notre disposition aujourd’hui permettent ni plus ni moins de « déconstruire » le cerveau en ses composantes élémentaires afin d’en comprendre les fonctions et les dysfonctions. Shutterstock

La Banque de cerveaux Douglas-Bell Canada : une mine d’or pour la recherche sur les maladies du cerveau

À Montréal se trouve l’une des plus importantes banques de cerveaux au monde, la Banque de cerveaux Douglas-Bell Canada. Elle permet des découvertes sur différentes maladies neurologiques et psychiatriques.
Les notaires pourraient bientôt avoir un rôle à jouer dans les demandes anticipées d'aide médicale à mourir anticipée. Mais sont-ils prêts? (Shutterstock)

Planification anticipée de l’AMM : les notaires sont-ils prêts à leur nouveau rôle ?

Une formation avec des professionnels de la santé pourrait permettre aux notaires de prodiguer des conseils éclairés à leurs clients et d’être plus à l’aise dans la planification anticipée de l’AMM.
Les facteurs de risque modifiables de la démence sont l'hypertension artérielle, l'obésité, la sédentarité, le diabète, le tabagisme, la consommation excessive d'alcool et le manque de contacts sociaux. (Shutterstock)

De saines habitudes de vie peuvent prévenir jusqu’à 40 % des cas de démence

En encourageant les gens à être physiquement, mentalement et socialement actifs, nous pouvons potentiellement prévenir un nombre important de cas de démence.
Très souvent les aidants de parents ou proches vieillissants ou malades n'alertent leur entourage que lorsqu'ils atteignent un état d'épuisement extrême. Image d'illustration. Département des Yvelines © Nicolas DUPREY/ CD 78

L’épuisement chez l’aidant du malade d’Alzheimer

L’épuisement que les aidants de malades d’Alzheimer vivent au quotidien est souvent minoré par les termes utilisés, masquant les enjeux dramatiques qu’implique ce statut.
La méditation de pleine conscience a des effets positifs sur le stress, la dépression, la gestion de ses émotions, etc. Ground Picture/Shutterstock

La méditation, nouvel atout contre Alzheimer chez les seniors ?

En France comme ailleurs, la population vieillit. Préserver la santé mentale des seniors devient donc un défi majeur de santé publique. La méditation offre de réelles perspectives, voici pourquoi.
Le lecanemab est un anticorps qui s’attache aux protéines bêta-amyloïde accumulées dans le cerveau et permettrait au système immunitaire de s’en débarrasser. (Shutterstock)

Médicament lecanemab : une lueur d’espoir pour l’Alzheimer

Un traitement de 18 mois au lecanemab ralentit de 27 % la perte fonctionnelle et cognitive chez des personnes atteintes de maladie d’Alzheimer légère. Mais ce n’est que le premier pas vers une véritable cure.
L'origine des atteintes cérébrales de la maladie d'Alzheimer reste méconnue. Atthapon Raksthaput/Shutterstock

Les métaux sont-ils le chaînon manquant pour comprendre la maladie d’Alzheimer ?

Malgré un siècle d’étude, la maladie d’Alzheimer reste mal comprise et sans solution thérapeutique. Une nouvelle piste, étudiant le déséquilibre cellulaire de métaux (tel le cuivre), est prometteuse.
Le diabète de type 2, caractérisé aux stades avancés par une résistance à l’insuline, constitue un facteur de risque important de l’Alzheimer. (Shutterstock)

Alzheimer : au cœur de l’interaction entre l’insuline et les vaisseaux sanguins du cerveau

L’altération des récepteurs de l’insuline au niveau des vaisseaux sanguins entre le sang et le cerveau, contribuerait à la résistance à l’insuline observée dans l’Alzheimer.

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