Les publicités pour la perte de gras ciblée, en particulier pour la graisse abdominale, sont omniprésentes sur les médias sociaux. Mais existe-t-il des preuves à l’appui de cette « perte de graisse localisée » ?
Mélie Fraysse, Université de Toulouse III – Paul Sabatier; Emilie Salamero, Université de Toulouse III – Paul Sabatier, and Marie Doga, Université de Toulouse III – Paul Sabatier
La pratique, qui a explosé et s’étend aux sphères professionnelle et éducative, est envisagée comme une quête d’optimisation personnelle ou un moyen d’ajustement aux épreuves quotidiennes.
À entraînement et charge de travail similaires, nous ne sommes pas égaux face au risque de blessure. Partant de ce constat, les entraîneurs mettent la biologie à contribution pour préparer les athlètes.
Des études confirment les bénéfices de l’activité physique sur le bien-être et la santé mentale. Pratiqué en équipe, l’exercice physique favorise aussi l’insertion sociale.
De nombreuses études le montrent : l’exercice physique est bon pour la santé. Que l’on soit ou non en pleine forme, mieux vaut être actif que sédentaire. Voici ce que l’on sait des bénéfices obtenus.
Pour mieux mesurer leur activité et s’inscrire dans une communauté de pratiquants, nombre de sportifs amateurs adoptent montres connectées et outils numériques. Mais les abandons sont nombreux.
Des données scientifiques confirment l’intérêt de pratiquer une activité physique adapté pour prévenir les complications liées au surpoids et à l’obésité, en premier lieu le risque cardiovasculaire.
Comment lutter contre la sédentarité des jeunes ? C’est un problème mondial à l’heure des écrans. Zoom sur la Finlande qui a mis en place des politiques en faveur de l’activité physique.
En plongeant ses héros dans une compétition de natation synchronisée, « Le grand bain » vient questionner la masculinité hégémonique et notre vision de la virilité.
L’obésité est une maladie qui partage plusieurs caractéristiques avec le cancer, mais qui n’est pas reconnue comme telle par la société. Les personnes atteintes sont moins susceptibles d’être traitées.
De nos jours, la sédentarité augmente et la durée de vie s’allonge, ce qui accentue le risque de dépendance chez les personnes âgées. Promouvoir l’activité physique pourrait limiter l’ampleur du problème.
Les joueurs de rugby subissent souvent des blessures aux ischio-jambiers. De nouveaux travaux indiquent que cette susceptibilité pourrait avoir une double origine.
L'introduction du break-dance aux JO de Paris 2024 invite à penser les liens entre la danse et le sport. Dans l'Antiquité, ces disciplines étaient souvent indissociables.
Nos choix en matière de transport influencent notre entourage. Ce levier pourrait être mis à profit par les décideurs pour améliorer l’efficacité des politiques visant à changer les comportements.
Faire de l’exercice physique 150 minutes par semaine serait environ 1,5 fois plus efficace contre la dépression que les médicaments ou la thérapie cognitivo-comportementale.
L’organisation des Jeux olympiques peut-elle être un levier pour lutter contre la sédentarité des élèves ? C’est dans cet esprit qu’a été lancé le dispositif « 30 minutes d’activité physique par jour ».
Il est bien établi que l'activité physique régulière est bonne pour la santé. Mais attention à ne pas faire n'importe quoi, car dans certains cas, exercice trop intense peut rimer avec infarctus.
Professeur des universités en sciences de l'éducation/formation des adultes, Formation et Apprentissages Professionnels, Cnam, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Research Associate Professor of Epidemiology at CRESS - EREN (Inrae, Inserm, Université Sorbonne Paris Nord, Université Paris Cité), and head of the NACRe network (Réseau NACRe), Inserm