Comment instaurer une intelligence artificielle « digne de confiance » ? Quels en seraient les fondements juridiques et règlementaires ? Qui peut agir, en Europe et en France ?
Un partage équitable de la valeur, des procédures plus simples ou encore une transparence renforcée peut contribuer à lever certains freins dans les usages.
Le pouvoir russe aimerait s’affranchir du réseau mondial d’Internet pour affirmer sa souveraineté numérique. Une volonté d’isolation qui suscite scepticisme technique et inquiétudes politiques.
L’annonce quelque peu alarmiste d’une attaque systémique sur Internet pose la question de la structure et de la protection d’un des protocoles majeurs du web : le DNS, ou service des noms de domaine.
« À bon entendeur », aurait tout aussi bien pu être le titre du communiqué de l’Icann après l’attaque « inédite » contre le réseau, fin février. Décryptage.
Le conflit commercial qui oppose Washington et Pékin pourrait finalement déboucher sur une négociation à deux des nouvelles règles du jeu économique mondial.
La validation d’une base de données biométriques fichant tous les Français et la gestion de la censure par des entreprises comme Facebook achèveront-elles notre démocratie ?
Imaginez un pacemaker connecté : que ce passerait-il si des pirates informatiques en prenaient le contrôle ? D’où une nécessité de travailler à la cybersécurité dans le milieu médical.
Les opportunités offertes par les « health techs » ne doivent pas faire oublier les risques inhérents à l’hyperconnectivité. Des risques qui, dans le domaine sanitaire, sont particulièrement graves.
Les ADFI, vous connaissez ? Le monde de la cybersécurité et du renseignement savent, eux, que les architectures de données fictives immersives peuvent fausser gravement le réel. Dystopie à venir ?
Martin Andler, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Des chercheurs européens ont lancé une pétition demandant que le budget pour la recherche et l’innovation soit augmenté à 160 milliards d’euros. Un effort essentiel pour l’avenir.
La recherche est la grande oubliée de cette situation « piège » qu’est la mal-information. Or, aux peurs et émotions que celle-ci agite, il faut opposer des réponses à froid, fondées sur la science.
La cybersécurité est aujourd’hui un métier d’hommes. Mais ce pourrait être aussi un métier de femmes. À condition de parvenir à faire évoluer les mentalités, chez les hommes comme chez les femmes…
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School