Le président américain aura imprimé sa marque à l’économie américaine : baisses d’impôts massives, guerre commerciale avec la Chine, dérégulation bancaire et environnementale… Pour quels résultats ?
La Belgique comme d’autres pays européens est confrontée à de nombreuses crispations autour de la place de l’islam et de son insertion dans la société.
Cet ouvrage présente une analyse détaillée de dix attentats qui ont endeuillé le siècle – des États-Unis à l’Inde en passant par le Kenya, la Syrie, la Russie, la France ou encore la Norvège.
Le chancelier autrichien Sebastian Kurz, critiqué lors de son premier mandat pour s’être associé à l’extrême droite, affiche aujourd’hui sa fermeté face à la hausse de l’antisémitisme dans son pays.
Le RN était en recul au premier tour des municipales et risque d’échouer dans sa tentative d’enracinement local. Mais les thèmes du parti résonnent toujours au niveau national et européen.
En dépit des apparences, la montée en puissance de nombreuses thématiques chères aux partis d’extrême droite ou gauche ne semble pas leur bénéficier particulièrement en temps de crise.
En Allemagne, où l’extrême droite progresse, la question de la commémoration du 8 mai 1945 et, plus largement, de la perception de la Seconde Guerre mondiale, n’est pas tranchée au niveau national.
Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Les Républicains utilisent tous les moyens à leur disposition pour réduire autant que possible la participation des électeurs démocrates à la prochaine présidentielle.
L’analyse des expressions employées par Donald Trump pour désigner le Covid-19 éclaire sur ses calculs politiques et sur l’évolution de son rapport à la Chine au cours de ces dernières semaines.
La montée en puissance de l’extrême droite en Allemagne s’explique aussi bien par les difficultés des partis traditionnels que par un contexte économique et social propice à la progression de ses idées.
Le Parti chrétien-démocrate de la chancelière allemande Angela Merkel traverse une crise profonde que la récente démission de sa présidente, Annegret Kramp-Karrenbauer, a encore exacerbée.
Contrairement à ce qui avait parfois été annoncé, le Brexit n’a pas incité les opinions publiques des 27 États membres de l’UE à réclamer un « Exit » de leur propre pays. Au contraire, même.
Antonio Pele, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Le gouvernement Bolsonaro n’est pas un pouvoir autoritaire traditionnel ; il relève davantage d’un « fascisme moléculaire » qui manipule les désirs de la population.