L'ancien président de la république Nicolas Sarkozy se rend au palais de justice le 30 novembre pour l'affaire dite ‘des écoutes’.
STEPHANE DE SAKUTIN / AFP
Les mobilisations lycéennes ont été nombreuses et variées depuis au moins un siècle et demi. Retour sur trois d’entre elles, de 1882 à 2005, pour remettre en perspective le mouvement de 2018.
Aux abords de la porte d'Auteuil, à Paris, le 17 novembre 2018.
Lucas Barioulet / AFP
Jean-Marie Charon, École des hautes études en sciences sociales (EHESS)
Les médias sont dans une position paradoxale : espace nécessaire de représentation, de démonstration de la force, ils suscitent l’exaspération des acteurs de la contestation.
A partir de 2021, les candidats au bac devraient valider une partie de l'examen au fil de l'année de terminale, en “contrôle continu”.
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Alors que les candidats au bac 2018 entament ce lundi 18 juin le marathon des épreuves écrites, retour sur un leitmotiv des projets de réformes du bac depuis cinquante ans.
Lors d'un déplacement en Indre-et-Loire, le 15 mars 2018.
Guillaume Souvant/AFP
On assiste à un véritable retournement du macronisme : construit en 2016 contre les oligarchies partisanes sur la base de réseaux militants, il produit une série de réformes peu ou pas négociées.
Affiches de campagne lors des législatives de juin 2017.
Celette/Wikimedia
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
Macron l’a emporté parce qu’il avait face à lui deux versions inconciliables du souverainisme populiste, là où le Royaume-Uni du Brexit et les États-Unis de Trump n’en ont eu qu’une.
Fake-news, intox ou bonne vieille propagande avec de nouveaux moyens ?
Pixabay
Comment à l’ère numérique les techniques de la propagande se renouvellent, l’intox et la désinformation mutent… en utilisant toujours les mêmes moteurs.
Emmanuel Macron, à Paris, le 10 mai 2017.
Eric Feferberg/AFP
Les anciennes forces de gouvernement, PS et LR-UDI, sont directement impactées car elles sont sur les lignes de faille du bouleversement correspondant à la transition entre deux systèmes partisans.
Emmanuel Macron, celui que personne n'attendait, il y a un an…
Patrick Kovarik/AFP
Pierre Bréchon, Auteurs fondateurs The Conversation France
Les législatives vont constituer une étape marquante dans un début de recomposition du système partisan. En ce sens, elles pourraient être plus décisives que l’élection présidentielle elle-même.
Le Président en marche, dans la cour du Louvre, le 7 mai 2017.
Philippe Lopez / AFP
Pour une analyse à chaud du scrutin, trois aspects sont à aborder : les clés de ce succès, les fragilités qu’il recèle, l’importance décisive du mois à venir dans les actes et les discours.
François Fillon (ici le 23 avril), éliminé au premier tour, contrairement aux « prédictions » de Filteris.
Christophe Archambault/AFP
Afin de sauver le candidat Fillon, les sondages d’intention de vote ont été dénigrés et de pseudo métriques ont été artificiellement valorisées pour faire advenir une réalité que le scrutin a démentie.
Emmanuel Macron (ici à Garches, le 25 avril), est arrivé en tête au premier tour. Comme le prédisaient les sondages.
Philippe Wojazer/AFP
Le procès fait aux sondages est un mélange détonnant d’arguments fondés, de fantasmes, de mauvaise foi crasse et d’ignorance de la réalité du travail des sondeurs.
François Fillon à son QG de campagne, à Paris, le 23 avril 2017.
Christophe Archambault/AFP
Pierre Bréchon, Auteurs fondateurs The Conversation France
Comment la droite de gouvernement a-t-elle pu en arriver là perdre une élection jugée « imperdable », le désaveu du quinquennat socialiste dans l’opinion laissant augurer une alternance « naturelle » ?
Au QG d'Emmanuel Macron, à Paris, au soir du premier tour.
Patrick Kovarik/AFP
Le scrutin a ouvert une porte historique vers une nouvelle distribution de la représentation politique. À condition qu’elle ne se referme pas brutalement sous le souffle de la peur de l’inconnu.
Emmanuel Macron, sorti en tête au soir du premier tour de l'élection présidentielle.
Eric Feferberg/AFP
Notre système politique sort du premier tour éreinté et profondément divisé. Les positions combinées de chacun face à quatre clivages expliquent le vote mais ne favoriseront pas la gouvernance du pays.
Les candidats se réclamant d'une façon ou d'une autre du populisme totalisent près de 50 % des voix.
Joël Saget et Bertrand Guay / AFP
La vague de fond de cette élection présidentielle est l’installation du populisme dans la vie politique : les candidats s’en inspirant réunissent globalement la moitié de l’électorat.
Le 13 avril 2017, en Pologne: cérémonie d'accueil d'un bataillon de l'armée américaine déployée sur le flanc oriental de l'Alliance.
Wojtek Radwanski/AFP
S’il est difficile de savoir quel candidat sera sélectionné pour le second tour de la présidentielle, il est probable que les deux élus ne soient pas de chauds partisans de l’Alliance atlantique.
Professeur en Information-Communication à l’Institut Français de presse (Université Paris 2 Panthéon-Assas), Auteurs fondateurs The Conversation France