Contrairement à une idée reçue, il n’existe pas de lien mécanique entre la qualité scientifique d’une innovation et son acceptation par une population donnée.
Le jeu ne semble permettre de développer des compétences dans une organisation que quand il est utilisé au bon moment dans une séquence d’apprentissage.
Dans un monde de plus en plus incertain, le jeu est un outil précieux pour accompagner la prise de décision et apprendre à peser les conséquences de nos choix.
Le jeu et les aptitudes qu’il mobilise sont un vecteur efficace pour accompagner les agriculteurs dans la prise en compte des enjeux et la mise en pratique de la transition agroécologique.
Introduire le jeu au travail peut apporter des bénéfices à l’organisation et aux salariés, à condition de ne pas corrompre son essence même : être une activité libre et volontaire.
« En regardant mes ados jouer à des jeux vidéos pendant des heures, j’ai constaté que les concepteurs de jeux ont compris quelque chose que mes collègues enseignants et moi n’avons pas compris ! ».
Les échecs des entreprises dans leurs projets de « ludification » peuvent s’expliquer par une mauvaise adaptation de la stratégie à la taille ou au secteur d’activité.
Travail de moindre qualité, amertume des perdants, perte d’autonomie… La mise en compétition des collaborateurs peut éloigner l’organisation de ses objectifs de performance.
Et si… nous reconstruisions le monde différemment ? Et si le jeu nous rappelait l’importance de se connaître soi pour mieux vivre en accord avec le monde ?
Beaucoup de jeux vidéo sont centrés sur des virus. Particulièrement réalistes et immersifs, ils ont un fort potentiel pédagogique, certains étant même utilisés dans des parcours universitaires.
Jouer est un moyen efficace d’apprendre à gérer les crises dans des environnements virtuels réalistes. Scénarisation et gamification stimulent l’intelligence, la mémoire et la créativité.
Elle me recrute. Elle gère mon contrat, mes fiches de paie et mes formations. Elle me protège du burn-out et m’empêche d’aller à la concurrence. L’intelligence artificielle surpasse-t-elle l’humain ?
Des « jeux sérieux » qui proposent de prendre soin d’un compagnon virtuel atteint d’une maladie permettent de renforcer la médiation entre patient et personnel soignant.
Pour accéder à certains musées ou monuments, il faut parfois patienter des heures, comme cet été au Louvre qui a même refusé des visiteurs. Pourtant, des solutions existent.
Plus on s’entraîne à rechercher des idées nouvelles, plus on génère des propositions originales. C’est dans cet esprit qu’un groupe de chercheurs a conçu le jeu de cartes « Le bus à l’envers ».
Certains adeptes des jeux vidéo ont des talents précieux et rares pour le management. Les employeurs devraient donc les valoriser plutôt que les exclure sur la base de préjugés.