Alors que le nombre de cas positifs à la Covid-19 augmente dangereusement en France, comment expliquer qu’une partie de la population rejette encore le port du masque ?
Les statistiques montrent que maîtriser la circulation du virus auprès des seules personnes âgées sauverait l'essentiel des vies, avec un coût économique et psychologique minimal pour la collectivité.
Céline Burger, Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA)
Les mobilités urbaines sont au cœur des préoccupations. L’urbanisme tactique semble être une opportunité de gérer la crise de la Covid-19 et l’établissement de la distanciation physique.
Une enquête conduite auprès de près de 11 000 personnes en France montre à quel point le confinement a favorisé la prise de conscience de la nécessité de mieux se connecter à la nature.
Trouver des médicaments qui traitent le coronavirus Covid-19 pourrait s’avérer tout aussi important que de développer un vaccin. Mais il est difficile de créer des antiviraux efficaces.
Dans une enquête IPSOS-CEVIPOF menée du 9 au 12 octobre 2020, juste avant l'annonce du président Macron, 41% des répondants étaient défavorables à un couvre-feu et 35% favorables.
La pandémie a produit un phénomène d’uberisation des fake news dont chacun devient consommateur, producteur et diffuseur. Les biais cognitifs enferment les individus dans leur réalité alternative.
Le gouvernement britannique est sur le point d’introduire un système de confinement à trois niveaux afin d’améliorer l’adhésion de la population aux mesures anti-Covid. En quoi consiste-t-il ?
Notre exposition à un agent pathogène, que ce soit naturellement ou par la vaccination, peut affecter la manière dont notre système immunitaire réagira à l’avenir à des agents pathogènes similaires.
Pour maintenir l’exigence d’un débat démocratique et éclairé, sans sombrer dans la remise en cause de tous les savoirs, il est important d’initier les lycéens au débat éthique. Explications.
Au fil des mois, les chercheurs accumulent les nouvelles connaissances sur le coronavirus SARS-CoV-2 responsable de la pandémie de Covid-19. Mais de nombreuses questions demeurent.
Comme le poids des tâches familiales est davantage porté par les femmes, les professeures peinent à dégager la marge de manœuvre nécessaire à la production d’articles scientifiques.
La reprise post-Covid-19 s’accompagnera-t-elle d’une envolée des émissions de gaz à effet de serre ? Rien n’est moins sûr ! Extrait du dernier ouvrage de l’économiste Christian de Perthuis.
Pierre Guibentif, Maison des Sciences de l'Homme (MSH) – Université Paris-Saclay et Maryse Bresson, Maison des Sciences de l'Homme (MSH) – Université Paris-Saclay
En ces temps de pandémie, les SHS doivent générer du débat sur des enjeux collectifs, sur des propositions de connaissance et sur leurs conséquences en termes d’action ; une question de démocratie.
Tant Moderna que AstraZeneca ont utilisé leurs expériences antérieures ainsi que des conceptions de pointe pour réduire le temps de développement de leurs vaccins.
Les corps, qu’on oublie (trop) souvent dans une économie numérisée, reprennent avec la crise sanitaire toute leur importance. Ils deviennent clef dans l’organisation de nos espaces quotidiens.
Maître de conférences en épidémiologie et évolution des maladies infectieuses, laboratoire PCCEI (Univ. Montpellier, Inserm, EFS) & CHU Nîmes, Université de Montpellier
Directeur de Recherche au CNRS et directeur de l'équipe Écologie et Évolution de la Santé au Centre interdisciplinaire de recherche en biologie (CIRB) UMR CNRS 7241 – U1050 Inserm – Collège de France, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)