La pollution urbaine et agricole, la construction de barrages et les sécheresses menacent la survie des plantes aquatiques, qui sont essentielles à la vie dans les rivières, les lacs et les zones humides.
Les activités minières destructrices dans les zones protégées du RD Congo sont monnaie courante car elles génèrent de l'argent pour les citoyens, les fonctionnaires et les groupes armés.
Lors de la COP15, les entreprises ont réclamé un engagement politique fort, avec l’adoption d’un cadre ambitieux, aux objectifs mesurables. Mais leur engagement n’est pas sans soulever des questions.
Pour mieux détecter leur nourriture et leurs prédateurs dans le crépuscule arctique, les yeux des rennes changent au fil des saisons. Une découverte qui pourrait avoir des applications technologiques.
Lauren Touchant, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Elie Klee, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Erin Dobbelsteyn, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Lynda Hubert Ta, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa; Nessan Akemakou, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa et Thomas Burelli, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
La COP15 peut être considérée comme un succès avec l’adoption d’un cadre qui vise notamment à protéger au moins 30 % des zones terrestres, côtières et marines d’ici 2030.
L’empreinte carbone associée à l’utilisation des services numériques est dominée par la fabrication des appareils électroniques. À l’approche de Noël, une prise de conscience s’impose.
Permettre de voir concrètement les conséquences d’actions diffuses est un bon moyen d’éveiller les consciences, meilleur en tout cas que des chiffres ou des graphiques.
La promesse d’une énergie abondante et propre alimentée par la fusion nucléaire a fait un grand pas en avant grâce à une nouvelle expérience. Mais la production d’énergie n’est pas encore pour demain.
Une expérience met notamment en évidence l’importance de l’échelle locale pour intégrer à nos décisions leurs conséquences qui paraissent parfois lointaines.
Réflexion sur la pertinence de fusionner les agendas sur le climat et sur la biodiversité afin d’éviter un système à deux vitesses dans une ère post-pandémique.
Marine Combe, Institut de recherche pour le développement (IRD) et Rodolphe Gozlan, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Avec les progrès des analyses ADN et la baisse de leurs coûts, de nouvelles possibilités ont émergé. On sait par exemple désormais pister les êtres vivants grâce à l’ADN qu’ils laissent échapper.
La Chine possède de riches ressources naturelles et cherche à jouer un rôle de premier plan dans la conservation mondiale. Mais ses objectifs économiques passent souvent avant la protection de la nature.
Le contraste est saisissant entre Bolsonaro, déforesteur en chef, et Lula, qui se veut défenseur de l’Amazonie. Au point de susciter des espoirs trop élevés sur le court terme ?
L’accord historique pour le financement des pertes et préjudices a été éclipsé par l’absence de progrès dans l’élimination progressive des énergies fossiles.
Des scandales financiers, humains et environnementaux secouent la Coupe du monde de la FIFA. Même si les appels au boycott n’empêcheront pas la compétition d’avoir lieu, l’image du Qatar sera ternie.
Professeur en droit, Section de droit civil, Université d’Ottawa (Canada), membre du Conseil scientifique de la Fondation France Libertés, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Directrice de recherche CNRS, juriste, spécialiste du changement climatique et du droit de l’environnement et la santé, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Professor at Vancouver Island University & Postdoctoral fellow, Centre d’études en gouvernance et du Centre de droit de l’environnement et de la durabilité mondiale, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa