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Articles sur Série forêt boréale

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L'impact combiné de l'augmentation des températures (de 2 à 8°C d'ici 2100) et de l'aménagement forestier dans la forêt boréale mixte pourrait modifier la croissance et la distribution des espèces tempérées. (Shutterstock)

Au Québec, les feuillus pourraient se déplacer vers le nord. Voici les conséquences potentielles sur le paysage forestier boréal

Des recherches montrent que la distribution des feuillus tempérés (érable à sucre, érable rouge et bouleau jaune) pourrait se décaler vers le nord, entraînant de lourdes conséquences sur la forêt boréale.
Les incendies de forêt ont majoritairement été déclenchés par la foudre. Leur propagation a ensuite été exacerbée par un manque de précipitations et des températures anormalement élevées. (Victor Danneyrolles)

Les feux de forêt de l’été 2023 ont été les plus dévastateurs en 50 ans. Le pire reste-t-il à venir ?

Les feux de forêt de l’été 2023 au Québec ont été très impressionnants – et ravageurs. Il s’agit même de la pire année depuis 50 ans. Et avec les changements climatiques, le pire semble à venir.
Une connaissance accrue des interactions entre le couvert de neige et la forêt aideront à améliorer les modèles hydrologiques et ainsi assurer la protection du public face aux inondations. (Benjamin Bouchard)

Comprendre le rôle du couvert de neige en forêt pour mieux prédire le risque d’inondation

Mieux comprendre les interactions entre la forêt boréale et la neige permet d’améliorer les modèles hydrologiques assurant ainsi une gestion optimale de la ressource.
Le kalmia à feuilles étroites est une plante envahissante typique des écosystèmes boréaux. Sa prolifération peut nuire au reboisement de zones soumises à des perturbations. Jacques Ibarzabal/iNaturalist

Vers une valorisation des ressources végétales boréales

Les plantes boréales produisent des molécules qui sont valorisées par les médecines traditionnelles et qui inspirent le développement de médicaments par les chimistes contemporains.
Le thé du Labrador est l'une des plantes boréales considérées comme nuisible. Cette plante est importante pour les communautés autochtones en raison de ses propriétés curatives. (J. Baker)

La réconciliation avec les peuples autochtones doit aussi passer par la protection des plantes boréales

Certaines espèces de plantes boréales sont considérées – et traitées – comme des mauvaises herbes, impactant l’accès des communautés autochtones à d’importantes ressources médicinales et culturelles.
Les cultures autochtones possèdent un savoir ancestral et une connaissance approfondie des plantes qui méritent d'être reconnus, préservés et valorisés pour le bénéfice de l'ensemble de la société. (Olivier Fradette)

Plantes de la forêt boréale : de la médecine traditionnelle autochtone à la médecine moderne

Le savoir traditionnel ancestral des peuples autochtones sur les plantes médicinales est à la base de la découverte scientifique de nouveaux composés bioactifs.
Caribous forestiers de la harde du Pipmuacan. La pression de prédation et la perte d'habitats ont fortement contribué au déclin du caribou dans le sud du Nitassinan. (Stéphane Bourassa, Service canadien des forêts)

Cent ans d’exploitation forestière au sein du Nitassinan de Pessamit

Éclairage réaliste de l’aménagement forestier sur le Nitassinan de Pessamit, s’appuyant sur les données des inventaires forestiers du gouvernement du Québec.
Fumée s'élevant d'un incendie actif dans les Territoires du Nord-Ouest. (Sander Veraverbeke)

Des feux « zombies » aux conséquences incertaines de plus en plus fréquents dans les forêts boréales

Les feux « zombies » couvent tout au long de l’hiver et se rallument au printemps. Leur comportement reste peu connu, mais ils peuvent contribuer à une saison des incendies plus précoce et plus longue.
Quelles stratégies peut-on recommander pour rendre les forêts plus résilientes et mieux adaptées à ce nouveau climat? (Claude Villeneuve)

Peut-on mettre la forêt boréale au service de la lutte aux changements climatiques ?

Planter des arbres peut-il nous aider à résoudre la crise climatique ? Sans doute, mais jusqu’à quel point ?
La recherche d’un équilibre dans la réponse aux besoins humains en lien avec les limites du milieu est un enjeu perpétuel dans l’histoire de l’humanité. (Shutterstock)

Mesurer le développement durable, est-ce possible ?

Peut-on mesurer le développement durable ? Peut-on l’opérationnaliser au-delà des principes vertueux ?
Des températures plus chaudes pourraient allonger la saison de croissance des arbres et, conséquemment, augmenter leur taux de croissance. (Shutterstock)

Le changement climatique rend les arbres plus grands, mais plus faibles

Une augmentation de la période de croissance des arbres, en raison du réchauffement planétaire, ne correspond pas nécessairement à une plus grande production de biomasse de bois.
Lac entourant un site minier au Nord-du-Québec. (Maxime Thomas)

Les effets invisibles des activités humaines sur la nature

Les activités humaines peuvent affecter les plantes, ce qui a des conséquences pour les populations humaines qui les consomment.
Le castor vit à l’intersection du milieu aquatique et forestier, ce qui multiplie les interactions entre ces deux écosystèmes. (Shutterstock)

Le castor, cet ingénieur méconnu de la forêt boréale

Le castor est un important ingénieur d’écosystème en forêt boréale, mais sa dynamique d’occupation du territoire et son patron d’utilisation des huttes restent encore méconnus.
Vieille forêt d'épinettes et de sapins, âgée de plus de 300 ans. (Maxence Martin)

Un avenir très incertain pour les dernières vieilles forêts boréales

L’éloignement et les dimensions modestes des arbres des vieilles forêts boréales ne doivent pas nous faire oublier leur haute importance écologique, ainsi que les nombreuses menaces pesant sur elles.
En Amérique du Nord, la drave aurait pris fin avant la fin du 20e siècle, à l’exception de la Colombie-Britannique, où la drave est encore utilisée à petite échelle. (Shutterstock)

Ce que la drave nous apprend sur les forêts d’hier et de demain

L’exploitation forestière des deux derniers siècles a eu un impact majeur sur les forêts québécoises, mais les traces qu’elle a laissées guideront dans l’adoption d’un aménagement forestier durable.
Image satellite d’un feu de forêt en juillet 2021 au Nord du Saskatchewan (Wapawekka Hills). L'image correspond à une zone d’environ 56 kilomètres de large et a été réalisée à partir de la base de données Copernicus Sentinel. (Pierre Markuse), CC BY 2.0

Les forêts boréales nord-américaines brûlent beaucoup, mais moins qu’il y a 150 ans

Les forêts boréales Nord-américaines brûlent beaucoup, sûrement de plus en plus depuis les 60 dernières années. Pourtant, la tendance à long terme indique qu’elles brûlent moins qu’il y a 150 ans.
S'il est vrai que les arbres individuels sont immobiles, à l’échelle de l’espèce ils peuvent se déplacer et migrer aussi bien que les oiseaux, mais sur une période différente. (Shutterstock)

Migrer sans pattes ni ailes ? Le défi de la migration assistée des arbres

Le climat en rapide changement présente de nombreux défis à affronter pour assurer la durabilité des écosystèmes forestiers. La migration assistée est un outil qui permet de faire face à ces enjeux.
Les changements climatiques influencent le calendrier des différentes étapes du cycle de vie des plantes, notamment la floraison au printemps et le flétrissement des feuilles à l’automne. (Shutterstock)

Les changements climatiques modifient le rythme saisonnier du cycle de vie des plantes

Les changements climatiques modifient le calendrier des événements récurrents du cycle de vie des plantes, engendrant des conséquences critiques sur le plan écologique et économique.
Un chemin forestier abandonné, devenu impraticable dû au lessivage du remblai du ponceau. La présence d’un barrage de castor a accentué l’érosion du chemin. Laboratoire d'hydrologie forestière de l'Université Laval

Les chemins forestiers abandonnés par Québec endommagent les milieux aquatiques

En gérant mal ses chemins forestiers, le Québec et les compagnies forestières exploitant les forêts publiques ont réalisé des économies notables, au détriment de la protection des milieux aquatiques.

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