Marine Le Pen, cheffe de file du Rassemblement National, en chemin pour débattre d'un projet de loi visant a lutte contre l'islamisme radical, le 6 octobre.
Ludovic MARIN / AFP
Les mouvements de droite populiste ne paraissent pas, pour l’heure, tirer profit de la pandémie de coronavirus. L’hypothèse d’un cycle de « déclin » populiste paraît cependant peu probable.
Matteo Salvini, le 27 mai 2019, à Milan, après l'annonce des résultats aux Européennes.
Miguel Medina / AFP
Dans les discours, les symboles et les images, Matteo Salvini est déjà omniprésent. Mais dans les négociations qui s’engagent, il jouera le rôle d’un challenger pas d’un leader.
A Milan, le 18 mai 2019. Un Matteo Salvini moins sûr de lui qu'il n'y paraît.
Miguel Medina / AFP
Au lieu de servir de marchepied vers son hégémonie politique en Italie, cette élection européenne pourrait bien marquer l’amorce d’un nouveau cycle, moins pour le dirigeant de la Ligue.
Le vote pour renouveler le Parlement européen a lieu entre le 23 et 26 mai 2019.
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Quels sont les points clefs de ce scrutin ? Et quel sera l’impact pour l’Union européenne de demain ?
Une pancarte avec le chancelier autrichien Sebastian Kurz (ÖVP) et le vice-chancelier Heinz - Christian Strache (FPÖ) barrés lors d'une manifestation contre le gouvernement autrichien actuel et pour une politique d'asile humaine à Vienne, le 13 janvier 2018.
Alex Halada / AFP
La puissance des populistes provient de leur capacité à imposer leurs thématiques, leur temporalité de l’urgence, la simplification de leurs argumentaires et leur mode d’agir.
Emmanuel Macron et le président du Conseil italien, Giusepe Conte, le 15 juin 2018 à Paris.
Ludovic Marin / AFP
La relation bilatérale pâtit de conjonctures nationales, mais aussi d’un vaste mouvement de recomposition des forces politiques à l’échelle continentale avant les élections européennes de mai.
Luigi Di Maio (à g.), ministre du Travail et de l'Industrie, et Matteo Salvini, ministre de l'Intérieur, sont aussi chefs de file respectifs des mouvements populistes M5S et Ligue du Nord.
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L’alliance des populistes Ligue du Nord et M5S a donné naissance en Italie à un gouvernement eurosceptique. Quels risques sa politique économique fait-elle courir à l’Italie et à la zone euro ?
Giuseppe Conte, le 31 mai à Rome, à la veille de sa nomination au poste de chef de gouvernement.
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La dernière crise politique en Italie montre combien le lien de ce pays fondateur du Marché commun a changé en profondeur vis-à-vis de l’Europe.
L'avocat Giuseppe Conte, nominé à la présidence du conseil italien le 24 mai, s'adresse ici aux journalistes après son entrevue avec le président italien Sergio Mattarella la veille.
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L’interdiction pour les francs-maçons de participer au gouvernement renvoie l’Italie à ses heures les plus sombres.
Luigi Di Maio (à gauche), avec l'avocat et membre de son parti, le Mouvement 5 étoiles, Giuseppe Conte, pressenti pour le poste de Président du Conseil.
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Une alliance contre-nature, mais conforme au message des électeurs, se met en place à la tête de l’Italie, rassemblant le Mouvement 5 étoiles et la Ligue.
Bien qu’ils s’en défendent et qu’ils soient en très forte concurrence, le M5S et la Ligue du Nord pourraient converger vers un accord de gouvernement. Pourquoi ?